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"Les Chroniques de Spiderwick", aujourd’hui en salles !
Par Gillossen, le mercredi 16 avril 2008 à 13:30:08
Les créatures du film
Chafouin : Ce farfadet est une minuscule créature qui a élu domicile dans les murs creux de la Résidence Spiderwick, où il s’est fait un repaire envahi d’objets et souvenirs disparates chapardés à droite et à gauche. «Il apparaît et disparaît quand ça lui chante», explique Karey Kirkpatrick, «car les farfadets sont des êtres malicieux qui adorent nous faire des blagues.» Chafouin est foncièrement loyal à son maître, Arthur Spiderwick. «Celui-ci lui a confié une mission sacrée : "Protège le Livre !", à laquelle il ne saurait faillir. Mais le farfadet a un défaut : très irritable, il se transforme en un hideux troll lorsqu’on le contrarie. Il change alors soudain d’apparence, se gonfle comme s’il était sur le point d’éclater, avant de redevenir un gentil et serviable farfadet.»
L’ogre Mulgarath : Il veut récupérer le Livre pour régner sur le Monde Invisible. «Moitié homme, moitié créature, c’est un personnage complexe, polymorphe et ambigu. On est rarement un pur méchant dans les contes de fées», constate Pablo Helman. «Nous sommes partis du mythe de Lucifer, l’ange déchu», complète Kirkpatrick. «Mulgarath est un être maudit, qui aspire à plus de puissance, mais en est réduit à vivre au milieu de gobelins imbéciles et craintifs. En s’emparant des secrets du Livre, il deviendrait la créature la plus redoutable et la plus maléfique du Monde Invisible.»
Les gobelins sont de simples exécutants, pas très malins, pas très courageux qui forment une meute au service de l’ogre. Plus évolué, Tête de Lard est l’ennemi juré de ce dernier. Il ne pardonne pas à Mulgarath d’avoir décimé sa famille, il rêve de se venger, mais n’en a guère les moyens. Légèrement mégalo, il laisse volontiers les autres faire le sale boulot.» Indifférent aux règles d’hygiène les plus élémentaires, Tête de Lard est friand d’oiseaux au point de perdre la tête à la vue d’un volatile. Cette goinfrerie aura des effets inespérés dans la dernière séquence du film.
Des elfes de toutes formes et de toutes dimensions habitent le Monde Invisible. Les plus nombreux se cachent à l’intérieur des fleurs pour protéger la vieille tante Lucinda Spiderwick, lui apporter de délicieuses baies et lui donner des nouvelles de son père. Les sylphes, regroupés en essaims, sont les gardiens du monde féerique. Les happy few auxquels ils accordent leur protection perdent la notion du temps et de l’espace. C’est ce qui arrive à Arthur Spiderwick, réfugié à jamais dans une autre dimension. Mais oublier la vie, le temps, la mort et tous nos semblables, est-ce encore vivre ?
Pages de l'article
- Le synopsis
- L'avis d'Alana Chantelune
- Avant-propos
- Contes et légendes
- La résidence Spiderwick
- Le guide et les lunettes de pierre
- Les créatures du film
- Les effets visuels
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