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Jupons et poisons

Titre VO: Waistcoats & Weaponry

Tome 3 du cycle : Le Pensionnat de Mlle Géraldine
ISBN : 978-236051120-4
Catégorie : Jeunesse
Auteur/Autrice : Gail Carriger

Toujours élégante, Sophronia continue sa deuxième année au pensionnat – avec un éventail à lames d’acier dissimulé dans les plis de sa robe de bal, bien évidemment. Une arme tendance et fort à propos, puisque la jeune espionne,sa meilleure amie Dimity, l’adorable soutier Savon et le charmant Lord Felix Mersey montent clandestinement dans un train en direction de l’Écosse pourra mener leur camarade de classe Sidheag à sa meute de loups-garous. Personne ne se doute de ce qu’ils vont trouver – ou qui – à bord de ce train étrangement vide. Alors que Sophronia met à jour un complot susceptible de plonger Londres tout entière dans le chaos, elle va aussi devoir décider une bonne fois pour toutes vers qui va sa loyauté.

Critique

Par Gillossen, le 12/08/2015

J’en parlais dans l’une de mes dernières chroniques, mais c’est que l’on aurait presque l’impression de tourner en rond ici après trois tomes.
Evidemment, on se doutait bien que Sophronia allait avoir de nouveaux ennuis pour marquer le coup, mais… l’aspect romance qui se fait sentir dans ce tome 3 est loin d’être ce que l’auteur réussit de mieux. Non seulement la figure du triangle amoureux est plus que rebattue, mais en prome, Gail Carriger ne fait guère preuve d’originalité (c’est une chose) ou de cette touche farfelue que l’on apprécie chez elle. On est dans le platement mélo et le rythme s’en ressent, ce qui est d’autant plus dommage dans le cadre d’un roman de ce genre.
Dommage, car l’univers s’étoffe lui un peu et l’ensemble demeure plaisant. En soit, on se doutait bien que la romance allait prendre de l’importance, mais peut-être pas à ce point, sans même parler de tout ce qui touche aux discussions sur le mariage. Et c’est sans compter sur une fin quelque peu abrupte, pour un roman qui au bout du compte paraît bien court.
Il est toutefois probable que les amateurs y trouvent encore leur compte pour le moment, en misant justement sur les atouts de Gail Carriger, toujours présents sur la forme. C’est avant tout ici une question de fond quant à l’intrigue proprement dite. Mais on ne peut pas se reposer éternellement sur un capital sympathie ou de façon plus terre-à-terre son sens des dialogues et des ambiances enjouées.

6.0/10

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