1.8 millions de Harry Potter and the Deathly Hallows en langue chinoise ont été mis sur le marché depuis sa sortie, en octobre dernier.
En Chine continentale, la maison d’édition People's Literature Publishing House a imprimé, conformément à ce qui été prévu, 1.1 million d’exemplaires du dernier tome d’Harry Potter, mais n’a pas voulu communiquer les chiffres de vente.
Taiwan's Crown Culture Corporation a quant à elle elle expédié 700 000 exemplaires vers les magasins de Taiwan et de Hong Kong, un chiffre qui excède déjà les 680 000 copies vendues du sixième opus. Malgré les différences qui les séparent (le livre est sorti huit jours avant et coûte deux fois plus cher à Hong Kong et à Taiwan), les deux maisons d’édition ont fait savoir chacune de leur côté que de nouveaux tirages pourraient être envisagés.
La crainte des copies pirates ne semble pas s’être concrétisée. C’est au moins ce que dit le directeur marketing de l’éditeur chinois, Sun Shunlin, qui fait savoir qu’ils ont pris des mesures strictes pour restreindre le marché illégal, comme par exemple mettre un filigrane spécial anti-piratage sur la première page. En ce qui concerne le piratage du septième Harry Potter, la situation n’est pas bien sévère. Je ne peux pas vous dire qu’il n’y a pas du tout de copies pirates là-bas, mais très peu sont trouvées dans la rue a affirmé Sun. Comme ce dernier le laisse entendre, ils attendent que la barre des 1.6 millions d’exemplaires (le total moyen des ventes pour chaque nouveaux Harry Potter en Chine) soit franchie pour publier les résultats. Pour l’éditeur taiwanais les attentes sont aussi plus élevées, il espère atteindre les 1.1 millions records du premier tome. Autrement dit, les chiffres doivent être vus à la hausse.
Bref, tout va pour le mieux pour la version chinoise, comme pour les 64 autres traductions du monde entier.

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