La grogne monte déjà...
Et c'est Scholastic, l'éditeur américain, qui est visé. Avec un prix de 5 dollars supérieur à celui du précédent tome, on se dit que l'éditeur semble décidé à maximaliser ses profits, sachant qu'il n'y aura pas de huitième roman à venir ensuite.
En fait, Scholastic doit faire face à deux stratégies : soit baisser les prix pour toucher ses cibles prioritaires, les enfants et les adolescents au pouvoir d'achat plus faible que les adultes, soit maintenir un prix élevé afin de mieux communiquer sur la valeur du produit.
Mais quelque part, on se dit que Harry Potter and the Deathly Hallows aurait pu être vendu à 50 dollars et s'écouler tout de même à 10 millions d'exemplaires.

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