C'est du moins l'opinion de certains analystes.
Revenant sur cette fusion de New Line Cinema et la Warner Bros, ou plutôt l'absorption du premier nommé par le second, l'auteur de l'article met en avant la volonté de la Warner de reprendre la main dans le dossier de l'adaptation de Bilbo le Hobbit, en tirant le projet hors de l'influence de New Line, visée par la plainte. Faire traîner la procédure plusieurs années jusqu'à conduire à un imbroglio judiciaire ne semble pas faire partie des options retenues par les nouveaux dirigeants.
On peut donc supposer qu'un accord à l'amiable est désormais l'optique retenue, ce qui pourrait éviter toute perte de temps pour le projet pendant que la recherche d'un réalisateur se poursuit.

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