L'actrice semble très contente de l'aventure, une aventure abordée sans se poser trop de questions, alors qu'il s'agissait de son premier film d'animation.
Alors que l'adaptation du roman de Neil Gaiman sort vendredi sur les écrans américains, Teri Hatcher est donc la proie préférées des journalistes. L'actrice explique n'avoir pas lu le roman lorsqu'elle fut contactée, mais elle avait par contre déjà lu American Gods, se définissant comme une fan du travail de Neil Gaiman, mais aussi de celui d'Henry Selick, le réalisateur du film.
Celui-ci ne lui a d'ailleurs pas donné d'autre indication pour ses voix que celle de ne pas prendre un accent anglais ! Quant à l'auteur Neil Gaiman, elle ne l'a pas rencontré avant le début de la phase de promotion, soit tout récemment. L'un de ses défis personnels étaient toutefois de ne pas rien laisser transparaître de Teri ou de Susan, son personnage dans Desperate Housewives, dans celui de la mère de Coraline.
Et pour ce qui est de savoir si Coraline ne risque pas de faire peur aux petits enfants, l'actrice répond qu'il s'agit avant tout de la responsabilité des parents : certains ont bien amené leurs enfants de 3 ans voir The Dark Knight, ce qui n'a pas été le cas de son propre fils de 11 ans... Mais les parents devraient saisir l'occasion de pouvoir ensuite discuter des peurs et des sentiments contradictoires qui agitent leur progéniture à cet âge, toujours selon Teri Hatcher.

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