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AICN sur le tournage de Bilbo le Hobbit, reportage n° 6

Par Witch, le mercredi 11 janvier 2012 à 15:30:28

Le périple sur l'île du Nord se termine.
Nous vous avions proposé dés sa mise en ligne un résumé de l'article, mais comme pour les précédents voici l'entière traduction du sixième compte-rendu réalisé par l'heureux envoyé spécial du site AICN.
La traduction a, de nouveau été effectuée par ThinkBecca que nous remercions vivement.
Bonne lecture.

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Le reportage

Un voyage inattendu : Quint sur le tournage de Bilbo le Hobbit, partie 6 – Bonjour, Koro !
Article original publié le 20 décembre

Le lieu de tournage suivant était le dernier sur l’Ile Nord de Nouvelle-Zélande, et il s’est révélé assez particulier.

Notre destination, Ohakune, devait servir de décor à deux lieux de la Terre du Milieu. L’un de ces endroits se trouvait sur le Mont Ruapehu, qui se trouve être le plus haut sommet de l’Ile Nord, des terres très sacrées pour les tribus Maori locales, les Iwi. Ils ont été dans d’autres endroits de la montagne pour filmer une grande partie des scènes de la Montagne du Destin dans le Seigneur des Anneaux – quand Sam porte Frodon jusqu’en haut des falaises, par exemple, mais l’endroit dans lequel on se trouvait était nouveau pour la production. Cela ne signifie pas que Ruapehu est la Montagne du Destin, une erreur que font souvent les fans du SDA qui visitent les lieux.

Il est considéré comme irrespectueux de photographier les pics du Ruapehu, alors pendant qu’ils filmaient la plupart des scènes de la bataille du prologue sur les pentes de la Montagne du Destin sur le Ruapehu, ils ont dû reconstruire numériquement les impressionnants décors de la Terre du Milieu, à partir d’un tas d’autres montagnes comme des volcans hawaïens par exemple.

Les autochtones Iwi (deux tribus en particulier, les Ngati Uenuku et les Ngati Rangi) ont donné à la production leur autorisation de filmer sur ce côté de la montagne, et pour témoigner de la bonne entente entre les tribus et la production, ils ont organisé un Powhiri. La production ne pouvait pas forcer l’équipe et les acteurs à participer à cet événement traditionnel puisqu’il avait lieu sur un jour de repos, mais ils ont fortement recommandé à chacun de venir, car plus de gens venaient, plus cela manifestait du respect pour les Maori qui accordaient à l’équipe le droit de filmer sur leurs terres.
Ils attendaient peut-être 30 ou 40 personnes, et quand je suis arrivé au Maungarongo Marae, il y en avait facile le double, y compris le producteur Zane Weiner et le casting principal, de Martin Freeman à Ian McKellen en passant par l’ensemble des nains. Au moment où la cérémonie a commencé, il y avait presque 130 personnes de la production.

Nos hôtes, les Ngati Rangi, ont commencé par un haka, une sorte de danse guerrière rendue mondialement célèbre par l’équipe de rugby des All Blacks, qui la pratiquent avant chaque match. En tant que visiteurs, nous n’étions pas autorisés à pénétrer sur leurs terres avant que le haka ne soit terminé et que l’un des guerriers soit envoyé pour décider si nous, les types du film, étions des amis et des ennemis au travers d’une coutume appelée TIkanga. Cet homme nous a présenté un rau (une fougère) qui fut pris par Zane, indiquant que nous venions en paix et signifiant que nos deux groupes se rencontraient en tant qu’amis et que nous avions le droit d’entrer sur le Marae Altea.
A partir de là, les deux groupes ont eu une série de porte-parole, tenus à l’écart les uns des autres, et qui criaient chacun leur tour, faisant des discours terminant par une chanson. Chaque chef Ngati Rangi parlait à son tour en Maori, ce qui nous était traduit par notre interprète du nom de Turama Hawira.
On nous a tous donné une chanson à chanter et, depuis le parking, nous avons joué les chorales. Puisque nous étions tous des invités, afin de montrer notre respect à nos hôtes, nous devions participer, y compris les journalistes américains grassouillets tels que moi.

Tandis que les nuages quittaient lentement le ciel au-dessus du Mont Ruapehu et que le soleil brillait sur nous pendant toute la cérémonie, j’ai vraiment eu l’impression de vivre quelque chose de spirituel. Je ne suis pas croyant, mais il y avait indéniablement une puissance à l’œuvre ici. L’histoire derrière le rituel, la sincérité des paroles de nos hôtes, et le respect évident que leur portaient l’équipe et les acteurs se confondaient en une atmosphère concentrée, chargée de sens, une incroyable expérience.

Ian McKellen fut le dernier à parler, et il a fait un grand discours sur le voyage entrepris par l’équipe, les remerciant de nous laisser partager leurs paysages magnifiques avec les gens du monde entier. « Vous auriez facilement pu dire à Gandalf Le Gris « Vous ne passerez pas », mais vous ne l’avez pas fait » dit-il avant de réitérer ses remerciements pour leur coopération, et de laisser l’équipe de tournage entrer sur leur territoire.

Vous vous souvenez quand j’ai dit que chaque discours se terminait par une chanson ? Après le discours de Ian, tous les acteurs jouant les nains se sont avancés et ont chanté l’une des chansons de Bilbo le Hobbit, une ballade baryton particulièrement marquante intitulée « Misty Mountains » (celle du trailer sorti il y a peu).

La dernière partie de la cérémonie impliquait un rituel appelé le hongi, où les visiteurs se mettaient en rang pour passer devant les chefs Iwi, femmes et enfants, pour leur serrer les mains et se pencher pour leur toucher le nez et le front. Cette invitation dans l’espace vital de chacun renforce l’union de nos tribus et fait de nous, non plus des visiteurs, mais des tangata whenua (des habitants de la terre).
En marchant le long de cette file, j’ai dû pratiquer le hongi avec une bonne vingtaine de personnes, que ce soit d’adorables enfants ou de vieux hommes souriants, et ce n’était pas aussi étrange que je m’y attendais. Quand on frotte son nez avec celui d’un étranger, ça nous force à le regarder dans les yeux, et à voir plus que ce qui nous apparaît au premier regard. On m’a dit après cela que regarder nos hôtes dans les yeux pendant le hongi était en réalité un signe d’agression, mais ils n’ont pas eu l’air de s’en offusquer.

Une fois que nous eûmes tous terminé le hongi, nous nous sommes rassemblés pour parler de la mythologie Maori concernant ces terres, et l’on nous a dit qu’un représentant Iwi serait avec nous lors du tournage pour « protéger la montagne de nous, et nous protéger de la montagne ». Souvenez-vous que le Ruapehu est un volcan actif, et les Maori croient qu’il y a de bons et de mauvais esprits dans la région, qui doivent être respectés pour ne pas perturber l’équilibre.

En plus d’avoir Turama Hawira toujours à proximité sur le tournage, on nous a demandé de toujours dire bonjour à Koro (le mot Maori pour dire grand-père, se référant ici à la montagne) quand nous arrivions, et bonne nuit lorsque nous quittions le sommet, en signe de respect.
Je ne peux pas parler pour tous les autres, mais en ce qui me concerne, je l’ai fait. Ce n’est pas difficile d’être pris au cœur par la majesté du lieu, et bien que je ne crois pas exactement en les mêmes choses que nos hôtes, je sentais la puissance du lieu.

Le premier site de tournage fut le bois de hêtres d’Ohakune, qui n’était pas vraiment sur la montagne, mais histoire d’assurer mes arrières, je me suis quand même tourné vers la montagne à l’horizon, et lui ai murmuré un « bonjour, Koro ».

Cette zone boisée était censée représenter les alentours de la Comté, et on y voyait Bilbo rattraper Gandalf et les nains. Ils sont à cheval, alors vous imaginez le cirque ce jour-là. Treize nains et un Magicien, et des chevaux pour tout ce beau monde !

Les chevaux des nains portaient des sortes de couvertures hirsutes puisqu’ils étaient censés être des poneys, mais les types qui jouaient les nains auraient eu l’air stupide avec tout leur équipement sur le dos de petits poneys. Pour faire bonne impression, il fallait donc transformer des chevaux normaux en quelque chose de plus proche d’un poney.
On a surtout passé la journée à tourner des plans larges de la troupe progressant à cheval à travers les bois, tandis que Bilbo les rattrape, mais il y avait un plan en particulier que vous pouvez apercevoir dans le trailer, durant lequel Fili et Kili ramassent M. Sacquet depuis le dos de leur monture, et le posent sur son poney.

Regarder Jackson, Martin Freeman, Aidan Turnet et Dean O’Gorman organiser tout cela était particulièrement intéressant. Pour avoir plus de place, ils sont sortis de la zone boisée pour atteindre un champ plat où était installée la Ville de Tentes. La Ville de Tentes est le nom qu’ils donnent au campement qui se trouve juste en dehors de la zone de tournage. La tente de Peter, les effets spéciaux, les armures, les prothèses, les acteurs et quelques autres ont des tentes pour pouvoir faire leur travail tout en étant proches des caméras.

Peter, Martin et le coordinateur des cascades Glenn Boswell (vous entendrez davantage parler de lui dans un prochain article ; ce type est un cascadeur qui a survécu au tournage de The Road Warrior et au Turkey Shoot de Brian Trenchard-Smith !) ont eu du mal avec ce plan qui n’était pas évident puisqu’il impliquait trois acteurs, deux chevaux, et nécessitait un timing précis pour être réussi.

Comme vous pouvez le voir, la camera vient là où les mains de Peter encadrent le plan, alors Martin n’avait pas à être complètement soulevé pour la prise, juste soulevé assez pour faire croire au mouvement. J’imagine qu’ils feront une prise sous un autre angle, avec la doublure de Martin qui sera soulevée sur le poney. Pour cette prise, ils avaient juste besoin qu’on le voit bouger vers le haut pour avoir une base de travail pour le montage.
Cela explique aussi la présence de la caisse de pommes sous les pieds de hobbit velus de Freeman. Il doit marcher vers la caméra et monter sur cette caisse au moment précis où Kili et Fili arrivent à son niveau, afin de pouvoir pousser avec son pied tandis qu’ils l’attrapent par son sac à dos et le hissent en selle.

Comme vous le savez, j’en suis sûr, on stigmatise souvent le travail avec les animaux et les enfants dans le show business. Certains disent que cette idée vient du fait que, du point de vue d’un acteur, les animaux et les enfants volent la vedette à n’importe quel acteur, y compris le plus charismatique, mais si j’étais joueur (et je le suis) je parierais sur le fait que l’origine de ce dicton est surtout due à un point de vue pratique lors du tournage d’un film.
Travailler avec un enfant ou un animal signifie des journées de travail plus longues, et ça peut se révéler très frustrant lorsqu’on tourne en décor réel.
Ça demande un gros effort de coordination pour faire en sorte que le timing convienne, quand vous faites cohabiter des animaux et des humains dans une scène, et j’ai remarqué certaines astuces employées par les entraîneurs pour détendre les chevaux. Par exemple, j’ai vu l’un des entraîneurs renifler délicatement la perche micro devant un cheval, afin que l’animal fasse la même chose et réalise que cette chose pleine de fourrure qui pend au-dessus de lui ne va pas l’attaquer.

Un autre problème qu’on a eu en tournant sur ce site était la couche nuageuse. C’était vraiment couvert, mais pas les jolis nuages moutonneux… c’était juste blanc. A un moment au cours du tournage, les nuages se sont espacés et nous avons été inondés par un superbe soleil. Mais ça ne coïncidait pas avec tout ce qu’ils avaient tourné la veille ou le matin même, alors on a attendu qu’il y ait davantage de nuages.
L’éclairage est bien sûr essentiel pour la continuité du tournage. Ils peuvent (et le feront sûrement) remplacer ce ciel blanc par des nuages sympas, mais s’il y a un grand soleil et pas la lumière diffuse des prises précédentes, les plans de concorderont pas.

Ce fut une période assez calme. La prise était prête, le travail était préparé et il n’y avait plus qu’à attendre le bon moment. C’était un peu comme être dans l’œil d’un cyclone. Tout semble ralenti, tandis que le chaos du tournage d’un film est momentanément contenu. C’était plutôt relaxant, pour être honnête. Après environ 10 minutes, la couverture nuageuse est revenue et c’était comme si un sale gosse avait donné un coup de pied dans la fourmilière : tout le monde reprenait le travail.

Durant ce LULL, j’ai remarqué que l’immense artiste John Howe était présent. Je l’avais aperçu au Stone Street Studio à Wellington mais je ne voulais pas le déranger. Je trainais avec les mecs du son, Tony Johnson et Corrin Ellingford, quand Howe est arrivé. J’ai pensé qu’il allait leur parler, mais à ma grande surprise, il s’est présenté à moi et m’a complimenté sur mes articles concernant le tournage.
Je suis son travail depuis des années, et j’ai été abasourdi d’entendre des paroles aussi sympas venant de quelqu’un dont j’admire autant le talent. Il a même été assez gentil pour faire apparaître les articles sur son blog.

Il n’aura pas fallu longtemps pour qu’Alan Lee nous rejoigne et que nous parlions de l’art 3D qu’ils ont réalisé pour la dernière production vidéo. En réalité, tout a commencé par une plaisanterie, ils n’ont pas vraiment dessiné en 3D, mais la plaisanterie a pris forme et ils ont réellement collaboré sur cette œuvre, et pour la première fois, depuis des années de travail commun, ils dessinaient tous les deux sur une seule et même œuvre d’art. Ils ont employé des moyens numériques pour y ajouter une réelle dimension, et c’est pourquoi l’image rend si bien en 3D.
Je leur ai fortement recommandé de faire imprimer leur travail pour la prochaine Comic Con, car les gens en seraient raides dingues. Je sais que j’adorerais en avoir une copie. Ils ont aimé l’idée, mais on verra bien.

Après deux jours de tournage dans le bois de hêtres, l’équipe s’est dirigée vers les montagnes. Je n’aurais pas grand-chose à dire sur ce lieu de tournage, notamment à cause de ceci :
Cette mousse est très ancienne et en danger. L’une des conditions de tournage dans ce décor était que seul le cœur de l’équipe se rendait sur place, et je ne suis pas aussi essentiel, alors je suis resté sur la route de la montagne, ce qui me convenait plutôt bien. Ils ont construit une sorte d’échafaudage pour s’y rendre, vous voyez, et cet échafaudage a été déclaré sécurisé, mais j’ai posé un pied dessus et j’ai senti les lames métalliques plier sous mon poids, et d’un seul coup, je n’avais plus envie d’être là. La vue était incroyable, ceci dit, alors je me suis approché suffisamment pour avoir une vue dégagée sur la vallée en contrebas.

Entre ce panorama magnifique et l’immense chute d’eau (et la mousse en voie de disparition), ce décor était visuellement époustouflant et je comprends que cet endroit joue un rôle très important dans notre voyage. Je sais qu’ils ajouteront numériquement une immense statue. Bilbo et tous les nains regardaient en bas pour chercher quelque chose. Je n’en dis pas plus !

J’ai parlé un peu avec Peter avant qu’il descende sur le site du tournage, et il m’a fait remarquer qu’ils ont tourné une grande partie de la bataille prologue dans la Communauté à environ 5 minutes de voiture d’ici, sur le versant opposé. Et c’est en bas de la montagne, près de la chute d’eau, qu’ils ont tourné la scène où Gollum attrape son poisson après avoir rejoint Sam et Frodo.

Peter a aussi essayé de me convaincre que le reste du décor était entièrement construit par Weta Workshop, que tous les rochers étaient du polystyrène et que les chutes d’eau n’étaient que du sable versé en slow motion, mais il ne m’aura pas, pas cette fois !

Etant donné que j’ai passé le plus clair de mon temps assis dans une tente sur le site, essayant de rattraper mon retard sur l’écriture de mes articles (ou plutôt travailler sur mon Holiday Guide, en fait) c’est à peu près tout ce que j’ai fait.

Le Ruapehu constituait la dernière étape du tournage sur l’Ile Nord, pour l’équipe principale. Après ça, on est tous retournés à Wellington pour une soirée sympa (dans mon cas, remplie de bonne compagnie et de nourriture indienne dans un endroit appelé Planet Spice), puis nous avons pris l’avion pour l’Ile Sud, où nous attendait le meilleur du tournage (et une météo extrême).

Comme d’habitude, voici un aperçu de notre prochaine étape :

AICN 6

Et maintenant, c’est le moment de parler d’un membre de l’équipe ! L’une des personnes les plus importantes pour toutes ces étapes de tournage, un personnage clé de notre entente avec les Ngati Rangi et les Ngati Uenuku, est un homme du nom de Jared Connon.

Jared est le manager de supervision des sites de tournage, et l’un des membres clés de l’équipe qui cherche, valide et organise chacune des étapes que nous faisons dans ces lieux.
Depuis les premières photos jusqu’au nettoyage du site après le tournage, Jared est en première ligne, recherchant les sites qui conviennent à la fois pour raconter l’histoire, mais qui aussi d’un point de vue logistique. Il faut garder à l’esprit que l’équipe comprend plus de 400 personnes (et je ne compte que l’équipe principale), et doit pouvoir être logée à proximité tout en ayant facilement accès aux sites.

Il ne s’agit pas seulement de trouver des paysages sympas, pour Jared et son équipe, il y a tout un côté logistique qui doit être pris en compte.
En parlant avec Jared, j’ai appris que le travail sur Bilbo le Hobbit avait déjà commencé sous la direction de Guillermo del Toro, et la plupart des lieux choisis sont restés quand Peter est passé de producteur/scénariste à producteur/scénariste/réalisateur.

En résumé, le travail commence avec le script (naturellement) et une fois que Peter leur dit ce qu’il prévoit de tourner en studio, et ce qu’il veut filmer en décor naturel, l’équipe de Jared fait une première liste de sites. Un éclaireur fait des recherches et parcourt les deux îles pour prendre des tonnes de photos de références sur les sites potentiels.
De retour à Wellington, l’équipe les regarde et met de côté celles qui leur semblent convenir, et un grand RECCE est organisé avec Peter et la plupart des chefs d’équipes pour visiter tous les sites et décider celles qu’ils veulent garder.
Quand on en est là, ça devient marrant. On valide les sites, on s’entend avec les propriétaires des terrains, ou le gouvernement si c’est un lieu public, et on essaie de tirer le meilleur parti de chacune de ces étapes.
Le tournage sur place est coûteux, et à chaque fois que c’est possible ils essaient de faire en sorte de coupler plusieurs sites pour un même déplacement de la compagnie. Cette fois il y avait peu d’étapes d’un ou deux jours et ils ont pu l’organiser ainsi. Si la compagnie peut s’installer en un même endroit et travailler sur plusieurs sites pour obtenir des images pour les deux films, ils rentabilisent davantage leur investissement.

Jared est l’un des nombreux membres de l’équipe qui permet d’huiler les rouages de la machine et de la faire fonctionner sans accrocs. Sans lui, on n’aurait pas ces prises de vues quasi aériennes, ce sentiment divin, et les films perdraient de leur saveur. Alors bravo Jared ! Merci pour tout ce que tu fais et l’aide que tu as apportée pour que tout se passe bien avec les Maori, au début de cet article !


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