Le réalisateur mexicain est une fois de plus dans la lumière, à l'occasion de la sortie américaine de l'une de ses productions, Don't be afraid of the Dark.
Et, évidemment, comme c'est le cas lors de chaque portrait et/ou interview désormais, Tolkien et Lovecraft reviennent sur le tapis. Il faut dire que retrouver la mise en scène semble vraiment démanger Del Toro. Si j'avais une machine à remonter le temps et que je pouvais éviter les neuf mois passés sur les Montagnes Hallucinées et les deux ans sur Bilbo le Hobbit et que je pouvais passer directement de Hellboy 2 à The Wolfman, ce qui était prévu à l'époque chez Universal, je le ferais dans la seconde. Mais on ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve.
Mais pas de rancœur pour autant : J'ai vécu une expérience incroyable en Nouvelle-Zélande. Je bénis chaque minute de celle-ci car j'ai beaucoup appris. (...) Une partie de la gratification du fait de faire des films vient de ce processus. Et d'une certaine façon, la pré-production est l'une des choses que j'apprécie le plus.

En discuter sur le forum

Source