Avec le recul, on finit par en savoir un peu plus sur le méli-mélo du mois d'octobre...
Il semblerait en effet que la pression de la Warner ait été vraiment intense que la gouvernance néo-zélandaise, en agitant la menace de partir à l'autre bout du monde si la loi sur le travail du pays n'était pas modifiée officiellement au Parlement. Il apparaît pourtant que les représentants de la Warner venus parlementer avec le premier ministre avaient bien peur d'une chose... les journalistes.
En effet, il avait été officiellement demandé de les éviter, comme le révèle un courriel en provenance des bureaux de New Line Cinema. Une demande acceptée... Et finalement, la loi fut modifiée en à peine dix jours.

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