Et le célèbre magazine s'interroge : comment transformer le buzz autour du film en entrées sonnantes et trébuchantes ?
Car Summit Entertainment, la maison de production elle-même, ne s'attendait pas forcément à une telle folie, en tous les cas, pas avant la Comic-Con de l'été dernier. Mais il faut maintenant convertir cette attente des fans, alors même que les romans de Fascination, tout en faisant beaucoup parler, sont loin des chiffres de ventes d'un Harry Potter ou d'un Da Vinci Code, et donc bien moins connus du grand public.
Mais c'est là que la fantasy peut aider à dépasser le cadre des jeunes filles en fleur ! Et c'est ainsi que le studio va maintenant axer sa campagne sur les coupures publicitaires de séries vues par les 12-24 ans, mettre l'accent sur l'action pour ce qui est de toucher le public masculin... De toute façon, selon une campagne MySpace autour du film, les producteurs sont clairs : ils n'ont pas pu générer un tel traffic uniquement à cause de filles enamourées, peu importe leur nombre de visites.
A priori, toujours selon l'article, le film serait fidèle au ton du roman et respecterait ses moments importants, même si d'autres sont visiblement condensés. Les grands moments sont facile à mettre en boite. Ce qui l'est moins, c'est ce qui les sépare. A ce titre, le film aurait d'ailleurs une fin plus ouverte que le roman, afin de mieux préparer le terrain pour les suites.

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