Rappelez-vous cette histoire que nous évoquions au début de l'hiver. Cette fois, le fondé de pouvoir du studio, Daniel "pit bull" Petrocelli, reproche au Tolkien Estate et à HarperCollins d'avoir fait perdre des millions de dollars en opportunités de merchandising pour des machines à sous virtuelles en lien avec Le Hobbit.
Mais il y a aussi, excusez du peu, le reproche que les casinos en ligne auraient été une plus grande exposition pour la trilogie du "Hobbit" : Warners adds that it had plans for a Hobbit-themed casino slot machine with a company called WMS Gaming but "was unable to proceed" and that "this alone cost Warner millions of dollars in license fees." En conséquence, le studio demande une compensation financière pour la perte subie par l'interdiction des jeux de casino "hobbit".
L'avocat des défenseurs, Bonnie Eskenazi, s'estime confiant dans la justice pour protéger les gens qui osent se dresser devant un géant pour lui dire qu'il n'a pas tous les droits.
On a donc finalement trouvé plus vorace que Smaug.

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