Alors que le réalisateur mexicain est déjà sur de nombreux projets (Hellboy 2, 3993, Les Montagnes hallucinées, etc), il dirigera en plus pour Universal l’adaptation de Hater, un roman plus proche de l'Horreur de David Moody. Nous ne pouvons pas savoir quelle incidence ce film aura sur le développement des autres projets fantasy, à commencer par Les Montagnes Hallucinées, déjà en suspend.

La société est secouée par une augmentation soudaine du nombre d'agressions violentes sur des individus. Surnommés les "Haters" par les médias, les attaquants frappent sans avertissement. Leurs attaques sont brutales, sans pitié et extrêmes. Il n'y a pourtant aucun lien apparent entre les Haters et leurs victimes, pas plus qu’il n’ y a de raisons qui expliquent cette violence. En l’espace d’une seconde, des gens normaux, tout ce qu’il y a de plus rationnels, deviennent de sauvages tueurs. Chacun - sans tenir compte de la race, du sexe, de l'âge, de la sexualité ou de toute autre distinction imaginable - a le potentiel pour devenir un Hater, ou une victime. C'est un fléau qui ne connaît aucune frontière. Vous ne pouvez plus avoir confiance en personne, peu importe tout le bien que vous en pensez et à quel point vous les connaissez. Vous ne pouvez même plus avoir confiance en vous. À la fin de la journée vous pourriez être un assassin. Au terme de ce jour, vous pourriez être mort.

Pour l’histoire elle-même, il s’agit d’un homme, Danny McCoyne, qui n’a pourtant pas la vie facile, mais s’affole de la recrudescence de violences inexpliquées, inimaginables. A tel point qu’il lui est conseillé de s’enfermer chez lui avec sa famille. Malgré tout, le mal pourrait bien s’insinuer à l’intérieur de ses membres…
Cela promet de beaux frissons…

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