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Magifique couverture d'ailleurs. Même si je doute que ce charmant animal puisse tenir sur l'épaule de Vlad, je trouve que (partiellement) l'esprit du livre se retrouve bien sur la couv'.

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Maudit je suis ( voir plus haut)Azeroth, lui-même, m’a d’ailleurs signifié une partie des réjouissances, 10 jours sans ADSL et l’œuvre ( ?) complète de Michael Crichton à lire.Bon, trêve de hors sujet (pitié, pas de double peine), je repose ma question sur ‘Agyar’. Les quelques rares critiques sur le sujet m’ont indiqué qu’il s’agissait d’un ouvrage fort différent du cycle de Vlad.Que lors de ma remontée des abysses, je puisse recommencer une vie normale.Pour Nero : Mnémos m’a promis que pour chaque nouveau lecteur, il corrigerait les coquilles de tout un chapitre d’un de leur livre. Y’a du boulot.Et hop , une semaine de pustules supplémentaires pour ma méchanceté.Note pour les âmes sensibles : vrai pour l’ADSL, faux pour Michael Crichton. Ca va pas non ?

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Vvarden,vendredi 27 janvier 2006, 22:19 a écrit :Bon, trêve de hors sujet (pitié, pas de double peine), je repose ma question sur ‘Agyar’. Les quelques rares critiques sur le sujet m’ont indiqué qu’il s’agissait d’un ouvrage fort différent du cycle de Vlad.
En effet, c'est completement different du cycle de Vlad, mais, a mon avis, c'est tout aussi bon. Ce n'est pas un roman de cape et d'epees, y'a pas beaucoup d'action, mais la decouverte progressive du personnage principal est tres bien menee, et c'est surtout ca qui m'a plu.

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Gillossen,vendredi 27 janvier 2006, 10:52 a écrit :ça nous permet de contacter Mnémos pour un petit SP ! ;)
Et voilà, reçu ce matin ! ;) Je vais tenter de le lire durant le week-end, d'autant qu'il est plutôt court, mais ce n'est pas gagné d'avance... :o

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J'ai fini Yendi, et c'est totalement dans la continuité de Jhereg, avec un style direct et prècis, très peu de description, une grande place étant accordé à l'intirgue, aux personnages et à leurs péripéties. L'humour, parfois désinvolte, touche quasiment à tous les coups, ça pimente parfaitement l'histoire.Bref, cet auteur fait dans l'efficace, sans fioritures, ça change grandement de ce que je lis le reste du temps.Le tome 3 s'intule Teckla alors? :unsure:

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Détail :comme Luigi l'a fait remarquer, Yendi est antérieur à Jhereg et s'intercale entre le prologue de Jhereg et le chapitre 1. Pour ceux qui n'ont pas encore lu les deux tomes.M'en suis aperçu en relisant Jhereg (P. 66). Oui Monsieur, à ce prix là, je lis les livres deux fois.

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Attention, changement d'adresse pour la page (et modif du titre du sujet en forum, par ailleurs), avant la critique de Yendi ::arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/roman/cycle/vlad-taltos-318+ déjà la citation du jour :
Il faut signaler que la plus grosse somme qu'on m'ait jamais offerte pour un assassinat était de six mille pièces d'or et que ces deux-là ne prenaient même pas la peine de discuter en dessous de huit ou neuf mille.

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Merci pour la critique ;) Je crois qu'il y a un petit soucis d'ordre technique (ça vient peut-être de chez moi), "l'onglet" consacré à la critique de Yendi est rogné... :unsure:

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Ah, la note baisse un peu, mais ça a au moins le mérite de me remémorer ces romans que j'avais totalement oublié, et même si ça n'a pas l'air exceptionnel, ça me semble tout à fait honnête et très susceptible de me plaire, bref, je re-note et je re-dis pourquoi pas, à l'occasion!Merci pour la critique! :)Thys

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J'ai lu quelque part que Jhereq partage une certaine filiation avec Les Neuf Princes d'Ambre de Zelazny ; un tel rapprochement n'étant pas pour me déplaire, je me suis donc procuré le bouquin ! ;)Je sais pourquoi les deux oeuvres sont généralement apparentées : on se retrouve dans chacun des deux cycles face à des intervenants bien identifiés (les frères et soeurs de Corwin, les maisons impériales) et on se retrouve dans un univers où les puissances s'affrontent par fourberies et contre-fourberies.Mais arrêtons-là la comparaison, et intéressons-nous plutôt à Jhereq. Les descriptions ne sont en effet pas légion, on a ici un livre où dialogues et action priment. Ce qui a un inconvénient : on a affaire à un univers improbable, où les armes médiévales-fantastiques (puisques magiques) sont utilisées, mais où les protagonistes n'hésitent pas à utiliser des termes tels que génétique, salles de tripot, qui font quand même assez modernes. Si l'auteur avait un peu précisé le contexte, cela aurait pu mieux passer, à mon humble avis.Les révélations (enfin, la grande révélation) sur l'univers tombent un peu à plat, vu toujours le manque d'informations (de background) que nous avons sur cet univers.Autre défaut, la structure classique. Si le final est bien amené, grâce au prologue, on peut regretter l'épilogue digne d'une série américaine des années 80 (histoire d'époque, sans doute) où tout le monde est content, grands sourires à l'appui, et où on explique aux lecteurs inattentifs les détails qui leur auraient échappé.Bon, vous connaissez mon naturel critique, les défauts d'un bouquin me venant tout de suite à l'esprit, tandis que je ne lache pas beaucoup de qualités, même sous la torture. Je vais quand même essayer de me forcer... :PC'est une bonne lecture, quoique légère ; Jhereq n'a pas en effet la même envergure que les Neuf Princes d'Ambre. Il a un côté des plus efficace : les personnages sont tous attachants, l'action est prenante, l'ironie est présente. C'est le type même du roman que vous ne lachez que lorsque vous l'avez terminé.Le personnage de Loïosh est un grand atout, vu sa proportion à toujours lancer des remarques pleines d'humour. Et pourrait-on prendre ce racisme anti-Orientaux (attention, les Orientaux sont nous, les humains) comme un début de réflexion contre le racisme en général ?Bref, dès que j'aperçois Yendi, je m'occupe personnellement de son cas ;)

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Comme l’avait prévu Vvarden :rolleyes: , j’ai beaucoup aimé le personnage principal, qui fait penser à Garrett (son humour par exemple :P ).Je n’ai lu que le premier roman, et je le classe dans les lectures courtes et plaisantes (tout comme Garrett ;) ). On rentre sans problème dans l’intrigue car l’auteur positionne bien le cadre de l’aventure. Comme l’a dit Luigi, les personnages sont bien construits et bien dosés.Par contre le parallèle avec Les Neuf Princes d'Ambre ne m’a pas marqué. L’univers étant différent, je n’y ai pas du tout pensé. :huh: Comme la suite ne semble pas être monotone, l’aventure risque de continuer pour moi aussi ! :)

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Kaines,mercredi 16 août 2006, 11:57 a écrit :Par contre le parallèle avec Les Neuf Princes d'Ambre ne m’a pas marqué. L’univers étant différent, je n’y ai pas du tout pensé. :huh:
Moi non plus, mais je n'ai pas osé le dire. :ph34r: ;)

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Gillossen,mercredi 16 août 2006, 13:55 a écrit :Moi non plus, mais je n'ai pas osé le dire. :ph34r: ;)
Je ne peux que bisser. Ce n'est vraiment pas le livre qui me vient à l'esprit quand je pense à Vlad Taltos. J'ai plutôt dans l'idée Garett, oui ;) Je pense que je vais me faire les tomes suivants à la rentrée. J'avais vraiment bien aimé les trois premiers :D en plus ils ne coutaient presque rien :mrgreen:

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Après quelques jours d'attente pour faire durer le suspense... :mrgreen: Dans l'Empire, il y a dix(-sept) maisons qui ne rêvent toutes que du pouvoir (ok, là j'extrapole ;) ). Dix-sept maisons à la philosophie bien établie, que l'on peut presque voir comme des personnages.Ces dix-septs maisons ne dédaignent pas à l'occasion se tirer dans les pattes dans des luttes de fourbes !Ceci ajouté au fait qu'on a droit à une narration à la première personne, pleine d'humour... Et si je vous ai pas convaincu, je propose la création d'un sujet Rapprochements foireux entre cycles, où Foradan et moi serons les vedettes, Foradan pour sa comparaison entre Harry Potter et le Seigneur des Anneaux ! :P :jesors:

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Nero,samedi 19 août 2006, 11:02 a écrit :Ceci ajouté au fait qu'on a droit à une narration à la première personne, pleine d'humour...
De l'humour d'accord, mais je trouve que le ton employé pour cet humour est quand même assez différent entre Ambre et Vlad... :blink: