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Du jeudi 19 juillet au dimanche 22 juillet, Sofia sera présente à l'Eurocon 2018, la convention européenne annuelle des littératures des imaginaires, qui se déroule cette année dans la belle ville d'Amiens.L'occasion de la rencontrer (et c'est une rencontre à ne pas manquer avec une personne exceptionnelle) et de se faire dédicacer votre exemplaire d'Un Étranger en Olondre. http://eurocon2018.yolasite.com/Checkez bien les jours accessibles au grand public et ceux où il faut être préalablement inscrit.

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Mais c'est qu'il a l'air très sympathique ce roman ! :D

Je me demande bien comment j'ai pu passer à côté pendant aussi longtemps... J'attendrai donc la sortie chez Argyll pour le découvrir.
"Libre à vous d'aller lire autre chose de plus franc du collier" La Cité de soie et d'Acier, de Mike, Louise et Linda Carey

"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio

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J'adore cette couverture :) Vivement la sortie !
"Libre à vous d'aller lire autre chose de plus franc du collier" La Cité de soie et d'Acier, de Mike, Louise et Linda Carey

"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio

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Nous espérons que le public répondra présent sur ce roman. Il y a beaucoup de textes à Sofia à traduire, et -disons-le clairement - d'autres très grands textes. :sifflote:

Simon

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zedd a écrit :Nous espérons que le public répondra présent sur ce roman. Il y a beaucoup de textes à Sofia à traduire, et -disons-le clairement - d'autres très grands textes. :sifflote:

Simon

Tu veux dire, en hauteur ?

Re: Critique ! [Un étranger en Olondre - Sofia Samatar]

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J'ai profité de mes vacances pour (enfin !) lire Un étranger en Olondre, et le début du roman m'a vraiment enthousiasmée et envoûtée. Cependant dès que sont arrivées les tractations politiques et religieuses autour du fantôme j'ai commencé à m'ennuyer. J'ai retrouvé un léger regain d'intérêt sur la fin, mais finalement j'en ressors plutôt déçue : j'ai adoré le style, beaucoup moins l'histoire.
Memento mori