Un juge fédéral du Wisconsin a rejeté la plainte déposée par Scarlett Pavlovich, une ancienne employée du couple Gaiman-Palmer, au motif que les faits reprochés se seraient déroulés en Nouvelle-Zélande et non aux États-Unis.
Neil Gaiman est accusé de viol et d’agressions sexuelles répétées survenus en 2022, alors qu’elle travaillait pour lui et son épouse Amanda Palmer dans leur maison de Waiheke, en Nouvelle-Zélande. La plaignante affirme avoir été contrainte à des rapports non consentis et maintenue sous emprise, invoquant même des faits d’exploitation relevant dans la législation américaine de la traite des personnes.
Le juge James D. Peterson a estimé que le territoire américain n’était pas compétent pour juger l’affaire : les deux parties vivaient alors en Nouvelle-Zélande, tout comme la majorité des témoins, sans parler des preuves potentielles.
La décision précise toutefois qu’il ne s’agit ni d’une évaluation des preuves, ni d’un jugement sur la véracité des accusations, ce qui laisse à la plaignante la possibilité de relancer la procédure devant un tribunal néo-zélandais.
En somme, si la procédure américaine s’achève, l’affaire Gaiman n’est pas close pour autant.
Neil Gaiman est accusé de viol et d’agressions sexuelles répétées survenus en 2022, alors qu’elle travaillait pour lui et son épouse Amanda Palmer dans leur maison de Waiheke, en Nouvelle-Zélande. La plaignante affirme avoir été contrainte à des rapports non consentis et maintenue sous emprise, invoquant même des faits d’exploitation relevant dans la législation américaine de la traite des personnes.
Le juge James D. Peterson a estimé que le territoire américain n’était pas compétent pour juger l’affaire : les deux parties vivaient alors en Nouvelle-Zélande, tout comme la majorité des témoins, sans parler des preuves potentielles.
La décision précise toutefois qu’il ne s’agit ni d’une évaluation des preuves, ni d’un jugement sur la véracité des accusations, ce qui laisse à la plaignante la possibilité de relancer la procédure devant un tribunal néo-zélandais.
En somme, si la procédure américaine s’achève, l’affaire Gaiman n’est pas close pour autant.
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