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Drekkars

Pas de couverture

Résumé

L’immense royaume des Fils de la Terre vient d’être ébranlé. L’ennemi vient de réapparaître. Les Drekkars sortent de l’ombre après un silence de dix siècles. Depuis la Grande Marche d’Afenor, la cité de Farkas s’était refermée sur elle-même. Sous l’égide des Dragons qui vivent tels d’inaccessibles divinités, isolés au coeur de la Passe, s’est développé un peuple raffiné, qui s’est doté d’un système hiérarchique codifié à l’extrême.
L’Empereur est l’élu des Dragons, le représentant de leur volonté depuis l’origine de la Passe. Lui seul connaît la motivation réelle des Maîtres. Mais l’Empereur n’a pas à se justifier de ses choix, si bien que lorsqu’il pousse les Drekkars vers une guerre ouverte contre l’extérieur, des opposants commencent à se faire entendre. Du Haut-Château à l’Enclos où s’entassent les esclaves Riddraks, la rumeur d’une révolte gronde...
Désormais l’insurrection porte un nom, celui de Sékal d’Aegor.

Chronique

Changement de cadre avec ce deuxième tome qui nous offre une ambiance plus exotique qui enrichit incroyablement le monde créé avec la complexe société des drekhars. Mélange complexe de civilisation japonaise, moyen-orientale et chinoise, cette société permet de mieux comprendre la mentalité des mystérieux guerriers casqués, les umaks, apparus dans le tome 1 dans un déchaînement de mort et de sang. Le complot à grande échelle contre les fils de la terre s'éclaire un peu plus avec le mystérieux Aion qui manipule ses pions dans l'ombre, et l'histoire prend de l'ampleur. A l'inverse cependant, on a du mal à rattacher les deux histoires et le lecteur ne voit absolument pas vers quoi le scénariste veut nous diriger. Les dessins et les couleurs si particulières conservent leur bonne qualité et restent un plaisir pour les yeux.

Belgarion