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Pavillon noir sur la Capricieuse

Pas de couverture

Résumé

Chacun pour ses raisons propres - et plus ou moins bonnes - Hugo, Marconius et Wodan ont rejoint les rangs des forces d'intervention de l'alliance.
A peine le temps de fêter ça et les voilà en mission avec le capitaine Pavlova pour intercepter Enzo Lupino, un cambrioleur de haut-vol qui a trouvé refuge sur Anachron, et compte bien revendre des objets scientifiques encore inconnus sur la planète. Il loue actuellement ses services sur un bateau pirate... de femmes, où nos héros tentent de s'engager.
C'est dans la cale au trésor qu'Hugo fait une rencontre pour le moins désagréable...

Chronique

Quoi ? Un nouveau cycle d’Anachron ? Mais pourquoi avoir expédié le quatrième tome, qui marquait la fin d’un « arc » , si ce n’était pas pour clore la série ?!? C’est là l’interrogation de la plupart des amateurs de cette BD, tout à fait justifiée.
On aborde donc ce nouveau départ dans les aventures d’Hugo et ses comparses assez circonspect et critique, pensant essentiellement à un coup propre à drainer quelques euros de plus. Les fans d’Aquablue, du même scénariste, ne pourront d’ailleurs s’empêcher de rapprocher le sort d’Anachron, de celui de cette autre série parfois surexploitée…
Et malheureusement, ces deux opus ne sont pas de nature à ôter tout doute. L’histoire est convenue, bien des ingrédients n’étant que des variations de ceux des quatre premiers tomes, malgré quelques idées originales éparses et quelques clins d'oeil sympathiques. Quant au dessin, il est égal à lui-même dans le cinquième tome, mais touche le fond dans le sixième où il relève souvent plus de l'esquisse qu'autre chose !
Ajoutez une taille de police pour le lettrage ridicule comparée à l’espace réservé pour les bulles, et vous voilà avec l’impression (?) d’un « bâclage » de mauvais aloi…
En conclusion, si l’on peut retrouver avec plaisir la galerie de personnages de la série, ce nouvel arc reste très dispensable.

Publivore

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