Cancrus supremus
Guillaume est un cancre. En magie, il touche pas une bille. Alors il triche pour être ...
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Au Collège Invisible, rien ne va plus ! L’Inspecteur d’Académie Radovar ...
Une nouvelle prof fait son entrée au Collège invisible. Et à écouter Tho...
La rencontre inter-collèges se poursuit. Le Collège Invisible affronte le ...
Pour Guillaume, c’est une journée comme les autres au Collège Invisible. Mlle Vidaura, le professeur d’Histoire...
Souvenez-vous… Mlle Vidaura, professeur d’Histoire, a voulu réformer le ...
C'est le retour de la vengeance de la rencontre au sommet ! Après s'être fait salement humilier lors du dernier tournoi de magie, le collège de Péqu...
Le collège invisible est reconstruit et les menaces magiques sont pour l'instant repoussées bref, tout va bien. Franchement, qu'est-ce qui pourrait ...
Comme Guillaume, vous n’aimez pas l’école : venez découvrir le monde de la magie dans le Collège Invisible ! Il n’est pas aisé d’y parvenir, il vous...
Qui de nos jours ne connaît pas Harry Potter ?
Certainement pas Ange qui nous livre ici une variation sur le thème du jeune magicien. Cette BD s'adresse en priorité aux jeunes lecteurs, comprenez, moins de quinze ans, mais les autres peuvent en profiter aussi. Son héros (cousin d'un autre élève connu) se retrouve choisi par le petit peuple pour le débarrasser du Mal. L'histoire se révèle vite sympathique et divertissante, malgré la simplicité de l'intrigue et le sentiment de déjà-vu. Des trolls au look de videurs de boîtes de nuit, lunettes de soleil et tee-shirts compris, un dragon amateur de fées (surtout la reine), un humour omniprésent et de nombreuses références bien amenées au célèbre anglais en font l'une des bonnes surprises de ce début d'été. Le dessin de Donsimoni colle bien avec l'histoire, apportant un brin de fraîcheur à l'ensemble.
En conclusion, une bonne BD qui réjouira les plus jeunes, mais dont les grands peuvent profiter aussi.
Dans le tome 2, on découvre de nouveaux personnages tel que l'inspecteur Radovar Soual, et plus de présence des professeurs. Le dessin est toujours aussi clair et lisible. Quant au scénario, Ange nous concocte une bonne histoire qui certes lorgne un peu du côté de Harry Potter (magie, école, sale gosse dans la classe, le héros qui parle aux dragons), avec aussi une allusion à peine voilée, mais s'en détache aussi nettement par un contexte plus léger et le format (naturellement puisqu'il s'agit d'une bande dessinée). Les personnages du tome 1 sont plus développés et l'une des sous-intrigues pourrait bien refaire surface dans le tome suivant.
Pour conclure, cette bande dessinée est dans la droite ligne de la précédente.
Alors que le volume 3 tend à s'éloigner consciemment de ses influences, pour imposer peu à peu son propre univers, notamment par le biais de ce fameux "Astral". On quitte même quasiment ce fameux collège qui donne son nom à la série. Bien sûr, Ange ne laisse pas de côté pour autant ce qui a fait le succès de ce cycle aux tendances gentiment parodiques... Du côté du dessin, le trait de Donsimoni se fait toujours plus souple et alerte, ceux qui l'apprécient ne seront pas déçus. Nous avons donc là un tome plaisant. Reste à voir si le 4 confirmera la tendance d'émancipation de la série, ou bien si l'on reviendra à la trame globale des deux premiers volumes... A noter que le tirage initial de ce volume 3 contient un cahier de clins d'œil à la série par d'autres dessinateurs.
Comme chaque année maintenant, voilà donc en ce mois de Novembre 2004 un nouvel album du Collège Invisible... Pour ce 4eme, lorgnant du côté de la parodie de Quidditch, rien de vraiment nouveau sous le soleil, si ce n'est des dessins paraissant parfois un poil moins soignés au détour de certaines cases, alors que le scénario retrouve le cadre des deux premiers. Le suspense principal provient finalement de l'intrigue que l'on perçoit dans l'ombre, et qui s'annonce en réalité pour l'album suivant... Transition se révèle donc le maître mot !
Pour repartir de plus belle dans un cinquième album parsemé de clins d'œil - il suffit de jeter un œil à la couverture, parodiant celle du premier tome de la Geste des Chevaliers-Dragons ! - pour nous proposer une aventure toujours aussi amusante, et maintenant dense, voire peut-être même un peu trop pour les plus jeunes lecteurs. Les réponses attendues se trouvent finalement développées dans le sixième album, qui clôt ce dyptique avec toujours autant de fraîcheur et d'humour, qu'il soit là question du fond ou de la forme (notamment un nouveau changement de coloriste pas désagréable à l'œil), avec 48 planches bien remplies.
Une BD qui a su peu à peu étoffer son univers, souvent avec malice et réussite.