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par Tzeentch
Elbakinien d'Or
Au moment de la rentée littéraire, nous allons avoir plus de 500 parutions. Qu'est ce qui va faire q'une poignée de romans sort du lot et que l'autre va rester en partie dans l'ombre ? Je pense qu'à aucun moment la couverture entre dans ce facteur de succès ou pas. À l'inverse, le genre qui a et ce de plus en plus le vent en poupe c'est bien la littérature young-adult, là, autant dire que les éditeurs se donnent à 300% pour avoir la couverture qui claque. Très souvent c'est ce même lectorat qui va chercher l'édition anglo-saxonne parce que plus "sexy". D'ailleurs, nombre de critique YA cite à un moment ou à un autre la couverture. La couverture est ce qui va attirer le lecteur vers un livre plus qu'un autre pour découvrir le résumé. Mais c'est bel et bien ce résumé là qui va faire la différence avec d'autres critères comme l'auteur, l'éditeur etc... Mais sauf erreur de ma part, j'ai jamais entendu quelqu'un dire, le résumé est pourri, il ne me parle absolument pas, par contre, je l'ai acheté pour la couverture. Faut bien qu'il y est corrélation à un moment ou à un autre.Une règle basique en marketing, et qui je pense ne fait pas exception avec le livre. Au bon endroit, au bon moment et avec la bonne communication. S'il y a bide, c'est tout simplement qu'à un moment il y a une carence envers l'un ou l'autre de ces critères. Ajoutons à cela la surproduction et le "tour" est joué.Plus haut dans la conversation on cite "l'Année de notre guerre", un beau plantage en effet. Pour autant, je ne pense pas que cela soit la faute de la couverture. Oui mais la faute à quoi alors ? Et bien c'est un mélange, sauf exception on ne peut pas tout mettre à la décharge d'une seule condition. Puis parfois ça tient à rien, je n'ai plus les parutions en tête à cette période mais peut-être qu'il y a eu deux ou trois livres de genre dont on a beaucoup parlé à ce moment et qui l'on éclipsé, tout simplement.