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Un bouquin qui sort un peu de l'ordinaire, et qui montre comme un bon nombre de mes lectures fantasy de ces deux dernières années, que la fantasy a des frontières à repousser, où quelques niches à explorer. Ici je pense qu'on est plus dans la niche, mais dont la comparaison à Gagner la guerre que j'ai pu lire ou entendre n'est pas dénuée de sens.On retrouve le côté minutieux, précis dans le texte et la description de Gagner la guerre, très vite, on voit tout en noir, ça pue, c'est bruyant, dégueulasse, on a envie de vomir parfois, on a des nausées. On est bien plongé dans l'univers :)Même défaut en contrepartie, on a peu de liberté de laisser courir notre imagination. On retrouve un univers grandement similaire.Par contre, dans Gagner la guerre, on a la chance de voir la beauté de Florence au détour d'une rue, j'ai longtemps cherché un peu de lumière dans cette ville.Beaucoup aimé cette immersion à double tranchant, l'écriture sous forme d'histoires courtes, la mise en avant de personnages de secondes zones qui montrent toute la réalité de cette ville.Le hic, c'est le côté humain, la noirceur est poussée jusqu'aux gens, du moins, rien ne m'a permis de m'attacher à un des personnages. La ville peut faire frémir, mais les personnages n'en sont que des pièces, qui manquaient de sentiments, d'expression à mon goût.Un roman qui devrait plaire ou tout son contraire selon que ce que vous cherchez. 
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Je le savais, je le savais...J'avoue que par vengeance, j'ai mitoné un beau programme à Gillo et sa blonde :- visite des stations de métro de Montréal dans l'ordre alphabétique.- 8h en tête à tête avec le créateur du musée de la moissonneuse-batteuse de St-Perpétue-du-Très-Saint-Cœur.- des nuitées dans un parc rempli d'ours sauvages avec pour unique protection une tente Décathlon que j'ai imbibée d'urine d'ours femelleIls vont s'en rappeler.Non, sérieux, Justine Niogret m'a fait rêver avec son Chien du heaume très malicornien, je suis certain que son Mordre le bouclier le vaut bien.Et pour W., voici un petit apperçu de la couverture de l'adaptation en jeu de rôles :Witch a écrit :T'as qu'à dire que c'est de ma faute
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Je me remets petit à petit au JdR, en attendant que mes fils soient suffisamment grands pour m'y remettre sérieusement avec eux, mais j'en achète avec plaisir quand leur univers est bon et qu'une part conséquente est dévolue aux description de celui-ci dans les livres de base. Je le prendrais donc avec plaisir...
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Je rajoute mon petit grain de sel pour ce livre :J'ai trouvé la façon d'écrire géniale, l'emploi de ce langage "familier soutenu", même si la lecture en est un peu ralentie.Par contre, j'ai trouvé le milieu comme la fin un peu terne, par rapport à ce qu'annonce le résumé au dos,.Si j'ose, la fin m'a laissé sur ma faim. De plus, le langage familier soutenu baisse d'intensité à mesure que l'on progresse dans le livre, ce qui est encore plus dommage.Un autre souci, j'ai du mal à me représenter les distances dans Wastburg. La superficie de la ville, la séparation des quartiers, la distance entre un lieu et un autre, etc... Les déplacements et passages du temps semblent donc un peu irréels, voire tirés par les cheveux.
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Lu Wastburg cet été. J'en attendais beaucoup beaucoup car je le voulais depuis longtemps. J'ai été un poil déçu. L’écriture est très dynamique - super travail - et ce puzzle que constitue tous ces personnages et chapitres est une très bonne idée. Le bémol est un peu le même que celui de Shadax, le scénario n'est finalement pas vraiment à la hauteur de cette écriture.Espérons qu'il y aura d'autres livres du même auteur, je me jetterai dessus avec plaisir !
Non, je plaisante bien sûr.. tant que c'est pas de la bit-lit... 
:jesors: aussi...