Tales of Symphonia, Tome 1
Dans le monde de Sylvarant, la légende dit qu'un jour, l'élu se dressera parmi les hommes et fera renaître la terre toute entière. La jeune Colette ...
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Colette a enfin reçu l'oracle qui fait d'elle l'élue de Sylvarant ! Elle entreprend le périple qui doit lui permettre. En brisant plusieurs sceaux, ...
Malgré les attaques répétées des Désians et la mystérieuse maladie qui la ronge, l'élue parvient à briser tous les sceaux et à pénétrer dans la tour...
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Le petit éditeur Ki-oon poursuit vaillamment son défrichage de parutions manga fantasy, loin des titres les plus courus du genre.
Il est vrai que publier l’adaptation manga du jeu vidéo Gamecube Tales of Symphonia, voilà une décision à laquelle il fallait penser ! D’autant que cette adaptation n’est pas signée d’une pointure qui aurait été débauchée pour l’occasion pour son nom.
Autant dire que les attentes ne sont guère élevées lorsque l’on débute la lecture de ce premier volume (sur 6 au total, la série est terminée au Japon). Et pourtant…
Suivant scrupuleusement le déroulement du jeu vidéo, l’intrigue réussit à maintenir l’intérêt du lecteur, y compris lorsque l’on connaît ledit jeu. On se surprend même à retrouver certains personnages avec plaisir. Les codes du shônen sont exploités de façon classique – « Je dois devenir plus fort pour protéger ceux que j’aime », etc… - mais efficace, d’autant que le début de cette aventure recèle quelques passages qui ne s’avèrent pas si naïfs ou bon enfants que cela.
Sur le plan du dessin, Hitoshi Ichimura, mangaka débutant, n’est pas K?suke Fujishima – character designer du jeu et auteur de Ah ! My Goddess – c’est certain, mais il s’en sort malgré tout avec les honneurs. Rien de bien transcendant à ce niveau, mais l’identité graphique de l’univers est respectée et le découpage de l’action est parfaitement lisible.
Alors, certes, cela reste un produit dérivé, et il n’est pas certain que celles et ceux qui n’auraient jamais entendu parler du jeu se laissent réellement prendre au fil des pages. Mais cette nouveauté mérite bien que l’on prenne le temps de la feuilleter avant de se décider, autant que n’importe quel autre titre parfois nettement plus mis en évidence dans les rayons.