402
Contexte héroïc-fantasy à la Skyrim (voir ma signature), donc totalement déplacé à mes yeux (surtout que visiblement toutes les femmes tchipent, vu que j'ai vu le mot revenir plusieurs fois déjà...).

405
Dans ce cas, oui, c'est bizarre. C'est une tentative de traduire quel verbe à la base ? to hiss (qui revient assez souvent en anglais, et qu'on traduirait d'habitude par siffler entre ses dents ) ?

408
Eh bien, moi, comme je l'ai déjà écrit ailleurs, c'est l'année où j'ai tout abandonné. Je travaille maintenant dans un entrepôt... et je ne regrette pas ma décision.Au jour le jour, ma vie est moins plaisante qu'avant, mais je peux enfin recommencer à envisager des projets d'avenir, car je suis certain d'avoir mon chèque de paye tous les jeudis.Cela étant dit, bravo à tous ceux et celles qui continuent. Je vous souhaite de gros contrats et de belles traductions.

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Il est certain que l'essentiel, c'est d'être de toute façon en accord avec soi-même et ses aspirations. Pour être clair, il est certain que perso, si mon "trou d'air" de début 2015 s'était éternisé encore longtemps... :/ Au bout d'un moment, tout est affaire de choix à trancher.

410
Il faut dire que j'en avais assez de toutes les petites traductions de quelques pages qui m'aidaient auparavant à boucler mes fins de mois. J'en étais au point où j'avais envie de vomir chaque fois qu'on me demandait de traduire des communications internes d'entreprise ou autre chose du genre. J'ai fini par décider que ce serait de la traduction littéraire, des essais, ou rien du tout. J'ai reçu bien des compliments et des encouragements de diverses maisons d'édition, mais aucun contrat. (Et la maison d'édition pour laquelle je traduisais des manuels scolaires depuis des années a changé de main.) Alors, la décision a fini par s'imposer d'elle-même.C'est toutefois clair que si je pouvais vivre en traduisant des romans, je serais plus heureux qu'en passant mes journées à lever des boîtes. (Sans compter que je n'ai presque plus le temps de lire. :()Je te souhaite donc sincèrement de pouvoir continuer à faire ce qui te passionne. :)

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Pour les traductions de romans, les collections changent aussi de directeurs de temps à autre, tout comme les besoins. Sans compter que tu peux toujours démarcher en proposant toi-même un roman. Ça reste are, mais si l'éditeur le prend, il a normalement plus tendance à le confier à celui ou celle qui le lui a fait "découvrir".

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Merci du conseil.J'avais envoyé trois échantillons d'oeuvres inédites en français dans des genres différents (fantasy, SF, roman historique) à une quarantaine d'éditeurs (d'où les compliments et encouragements reçus), mais cela n'a abouti à rien de concret.C'est vrai que je pourrais réessayer, mais maintenant que j'ai décidé de passer à autre chose, je préfère ne pas revenir en arrière. Je vois ce changement de carrière comme un sacrifice à court terme, dont je serai probablement fier à moyen et à long terme (deux augmentations de salaire par année, régime de retraite, vacances payées [5 semaines dès la 4e année !], etc.)

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Dans la mesure où le monde de l'édition, dans les grandes lignes, est une industrie basée sur le fait que les fabricants du produit - les auteurs - ne doivent pas, sauf exceptions, ambitionner de vivre de leur plume, on s'imagine à quel point les traducteurs doivent en baver.