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j'ai lu un peu plus de la moitié, surtout histoire de voir si je devais faire gaffe ou pas à qui cela pouvait être conseillé et...

Bon, les premières pages je rigolai un peu tellement cela pouvait être pris au 36e degré. Tout y est extrêmement simple, l'héroïne est la seule avec un cerveau, mais attention un petit coeur sombre bat encore sous toute cette cruauté...

Et puis finalement c'est plus, juste plat. Je m'en contrefous des descriptions de fringues que l'héroïne est la seule à porter par modernité. Je m'en contrefous des soi-disant secrets du roi des ombres. Attention à ne pas confondre aura de mystère et gros pleurnichard, quand on construit un tel personnage. Là, il geint et pleurniche.
Le roman est inoffensif dans le sens où il n'apporte rien. On peut aimer de la même manière qu'on aime parfois s'infliger des nanars ou des navets, mais c'est tout. Ca n'a même pas la vraie saveur d'un petit péché mignon sur lequel on craque même si on sait que c'est mal et que d'autres pourraient nous juger. C'est juste... le néant.

heureusement, la littérature fantasy ne manque pas de rois et de princes des ombres bien plus convaincants...

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Nephtys a écrit :j'ai lu un peu plus de la moitié, surtout histoire de voir si je devais faire gaffe ou pas à qui cela pouvait être conseillé et...

Bon, les premières pages je rigolai un peu tellement cela pouvait être pris au 36e degré. Tout y est extrêmement simple, l'héroïne est la seule avec un cerveau, mais attention un petit coeur sombre bat encore sous toute cette cruauté...

Et puis finalement c'est plus, juste plat. Je m'en contrefous des descriptions de fringues que l'héroïne est la seule à porter par modernité. Je m'en contrefous des soi-disant secrets du roi des ombres. Attention à ne pas confondre aura de mystère et gros pleurnichard, quand on construit un tel personnage. Là, il geint et pleurniche.
Le roman est inoffensif dans le sens où il n'apporte rien. On peut aimer de la même manière qu'on aime parfois s'infliger des nanars ou des navets, mais c'est tout. Ca n'a même pas la vraie saveur d'un petit péché mignon sur lequel on craque même si on sait que c'est mal et que d'autres pourraient nous juger. C'est juste... le néant.

heureusement, la littérature fantasy ne manque pas de rois et de princes des ombres bien plus convaincants...

Je nuancerais en disant que c'est clairement le roman qu'on va lire en posant son cerveau à côté de soi, pour une lecture pas prise de tête - et vite oubliée en effet :D (non mais en fait je nuance rien, mais je savais à peu près à quoi m'attendre en ouvrant ce roman - les trois quart de mon rayon de fantasy ado en ce moment sont basé sur ce même schéma de "dark fantasy gentillette avec des ficelles grosses comme des câbles")
Memento mori