22
Kissifrott a écrit :Ça peut être pertinent comme comparaison, surtout par rapport à l'aspect initiatique. Après l'écriture est assez différente, mais pas moins qualitative. Je situe ce roman entre Gagner la guerre et L'Assassin royal.
Bon ben il sort demain et je vais l'acheter demain !! Merci pour la réponse.
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Du côté de la fantasy française, c'est clairement l'un, voir LE titre de l'année. Le roman s'explose à la vitesse de la lumière et encore une fois, dans les grandes lignes c'est excellent. J'attends juste de lire la suite pour voir l'ampleur et l'épaisseur que peut prendre le récit.
C'est très personnel mais j'ai pris une plus grosse claque en découvrant Platteau ou encore Dewdney mais c'est une question de sensibilité par rapport aux influences et à la langue.
En tout cas, c'est très bon et plein de promesse. Je suis convaincu que ce roman va se vendre par palette.
C'est très personnel mais j'ai pris une plus grosse claque en découvrant Platteau ou encore Dewdney mais c'est une question de sensibilité par rapport aux influences et à la langue.
En tout cas, c'est très bon et plein de promesse. Je suis convaincu que ce roman va se vendre par palette.
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Merci pour cet article, c'est intéressant de voir comment le projet s'est construit. C'est marrant que l'auteur parle de Sienne comme inspiration, en visitant cette ville il y a quelques années je m'étais justement dit que c'était un décor parfait pour de la fantasy.
Bref, il est acheté sur ma liseuse et je vais commencer de ce pas ! Je n'ai pas beaucoup lu de fantasy française, je suis contente de m'y mettre
C'est à s'y méprendre effectivement !
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Je l'ai lu. Je n'ai pas été subjuguée, mais c'est une lecture sympathique. Le style n'est pas incroyable mais ça se lit très bien. On prend plaisir à suivre le récit. Il est très accessible et je pense que ça peut séduire un large public. On est en plein dans les codes du roman d'apprentissage. J'ai bien aimé la place accordée à cette Cité vivante qui est au cœur du récit, et l'aspect intrigue politique m'a plu. C'est surtout le dernier tiers du livre qui m'a intéressée, et cette partie m'a d'ailleurs un peu fait penser à L'Assassin Royal par certains aspects. La fin me donne envie d'en savoir plus. J'attends de voir ce que donneront les prochains tomes, surtout que les quelques pages du tome 2 de Claire Duvivier qui sont disponibles à la fin du livre me donnent bien envie. Je suis curieuse de voir comment les deux trilogies vont s'imbriquer. Pour conclure, je n'ai pas adoré mais je lirai tout de même la suite avec plaisir.
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Tiens, le roman a même eu droit à un passage TV, à la RTBF (en Belgique donc).
https://www.youtube.com/watch?v=_SaFlAw_rhg
https://www.youtube.com/watch?v=_SaFlAw_rhg
30
Autant j'ai vraiment aimé le style d'écriture plus qu'efficace, autant le roman parsemé de longueurs me laisse sur une impression mitigée.
L'univers et les influences diverses sont maîtrisées, maniées avec soin. La galerie de personnages est également intéressante et plusieurs éléments scénaristiques amènent une certaine poésie à l'ensemble et piquent l'intérêt. Un galop d'essai réussi au final, je ne suis déçue que parce que j'attendais l'excellence tellement tant de choses me parlaient et me séduisaient, mais la lecture est belle. J'attends de voir les tomes suivants à présent que cette partie de l'histoire a eu son exposition...et bien évidemment les récits de Claire Duvivier également !
L'univers et les influences diverses sont maîtrisées, maniées avec soin. La galerie de personnages est également intéressante et plusieurs éléments scénaristiques amènent une certaine poésie à l'ensemble et piquent l'intérêt. Un galop d'essai réussi au final, je ne suis déçue que parce que j'attendais l'excellence tellement tant de choses me parlaient et me séduisaient, mais la lecture est belle. J'attends de voir les tomes suivants à présent que cette partie de l'histoire a eu son exposition...et bien évidemment les récits de Claire Duvivier également !
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J'ai lu le roman en juin et j'ai bien aimé, sans être totalement happé. Ça se lit très vite parce que l'histoire est assez dynamique, il y a très peu de temps morts et les évènements s'enchaînent à bonne allure. Cependant, je ne suis pas sûr que le roman arrive à faire ce qu'il essaie de faire, à savoir un histoire initiatique plus ou moins intime dans une ville grouillante de vie.
Tout d'abord, je n'ai pas trouvé le narrateur très attachant et la galerie de personnages n'est pas inoubliable, même si rien n'est mauvais. En refermant le livre, je ne suis pas plus intéressé que ça par ce que va devenir Nox.
Ensuite, j'ai l'impression que Guillaume Chamanadjian force beaucoup trop pour essayer de donner l'impression d'une ville-personnage, vivante et haute en couleur. On sent trop dans ses descriptions de la foule, des odeurs, des habitudes du peuple, qu'il essaie d'obtenir ce résultat et ça manque au final de naturel, d'un côté organique. Là encore, c'est pas complètement loupé, mais on voit trop les ficelles de l'écrivain et finalement le décor ne sort pas tout seul des pages.
De manière générale, j'ai envie de faire le même reproche au style d'écriture : ça me paraît trop écrit, pas assez naturel, comme si l'auteur cherchait à chaque fois le petit mot de vocabulaire un peu original, soit pour basculer dans une belle description soutenue, soit pour faire un dialogue argotique. Il manque un truc pour qu'on se laisse complètement porter par les phrases.
Le roman fonctionne, il y a pas à dire, mais il y manque quelque chose pour l'élever au-dessus du lot.
J'avoue que sans le lien avec la trilogie de Claire Duvivier, dont je lis actuellement Un Long Voyage et à qui je serais bien en peine de faire les mêmes reproches, je me poserais la question de continuer la saga. Mais je suis très curieux de voir ce que va proposer Claire Duvivier et j'aime bien le côté un peu ambitieux de cette série à quatre mains avec des romans qui s'entremêlent.
Tout d'abord, je n'ai pas trouvé le narrateur très attachant et la galerie de personnages n'est pas inoubliable, même si rien n'est mauvais. En refermant le livre, je ne suis pas plus intéressé que ça par ce que va devenir Nox.
Ensuite, j'ai l'impression que Guillaume Chamanadjian force beaucoup trop pour essayer de donner l'impression d'une ville-personnage, vivante et haute en couleur. On sent trop dans ses descriptions de la foule, des odeurs, des habitudes du peuple, qu'il essaie d'obtenir ce résultat et ça manque au final de naturel, d'un côté organique. Là encore, c'est pas complètement loupé, mais on voit trop les ficelles de l'écrivain et finalement le décor ne sort pas tout seul des pages.
De manière générale, j'ai envie de faire le même reproche au style d'écriture : ça me paraît trop écrit, pas assez naturel, comme si l'auteur cherchait à chaque fois le petit mot de vocabulaire un peu original, soit pour basculer dans une belle description soutenue, soit pour faire un dialogue argotique. Il manque un truc pour qu'on se laisse complètement porter par les phrases.
Le roman fonctionne, il y a pas à dire, mais il y manque quelque chose pour l'élever au-dessus du lot.
J'avoue que sans le lien avec la trilogie de Claire Duvivier, dont je lis actuellement Un Long Voyage et à qui je serais bien en peine de faire les mêmes reproches, je me poserais la question de continuer la saga. Mais je suis très curieux de voir ce que va proposer Claire Duvivier et j'aime bien le côté un peu ambitieux de cette série à quatre mains avec des romans qui s'entremêlent.
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Je viens d'enchainer les 2 romans et je suis conquis.
Bon, j'avoue que je préfère "le sang de la cité" mais j'ai été surpris de qqchose:
Le sang de la cité, je trouve l'ambiance assez chaude, vivante etc. on sent que la cité est pleine de monde, de vie de senteurs, d'activité.
Dans citadins de demain, c'est l'exacte inverse: on dirait une cité morte, morne, triste, effacée, à l'image d'ailleurs des personnages.
De ce fait, de 2 choses l'une:
- soit c'est réellement l'ambiance que souhaitaient y infuser les auteurs respectifs et dans ce cas là, je dis chapeau car c'est très réussi.
- soit c'est juste un ressenti très perso et erroné de ma part et dans ce cas, bah rien c'est juste mon ressenti :-)
Bon, j'avoue que je préfère "le sang de la cité" mais j'ai été surpris de qqchose:
Le sang de la cité, je trouve l'ambiance assez chaude, vivante etc. on sent que la cité est pleine de monde, de vie de senteurs, d'activité.
Dans citadins de demain, c'est l'exacte inverse: on dirait une cité morte, morne, triste, effacée, à l'image d'ailleurs des personnages.
De ce fait, de 2 choses l'une:
- soit c'est réellement l'ambiance que souhaitaient y infuser les auteurs respectifs et dans ce cas là, je dis chapeau car c'est très réussi.
- soit c'est juste un ressenti très perso et erroné de ma part et dans ce cas, bah rien c'est juste mon ressenti :-)
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Oh, quelle bonne nouvelle, merci Luigi ! 
Je vais aller l'acheter de ce pas
Je vais aller l'acheter de ce pas
"Libre à vous d'aller lire autre chose de plus franc du collier" La Cité de soie et d'Acier, de Mike, Louise et Linda Carey
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
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J'ai préféré le sang de la cité, notamment sur l'aspect intrigues politiques meurtrières, même si le 1er tome de la capitale du nord se lit aussi très bien en dépit de longueurs parfois gênantes. Les deux tomes se répondent, tissent leurs liens pour créer un écheveau qui ne fait que se dessiner entre les deux capitales. Mention spéciale à la capacité pour les deux auteurs à créer deux atmosphères de ville très différentes et bizarrement complémentaires. C'est vraiment un personnage à part entière avec sa personnalité. Je suis curieux de lire la suite et de voir comment les deux histoires vont se rejoindre.
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Kissifrott a écrit :Ça peut être pertinent comme comparaison, surtout par rapport à l'aspect initiatique. Après l'écriture est assez différente, mais pas moins qualitative. Je situe ce roman entre Gagner la guerre et L'Assassin royal.
Je viens de lire le premier tome suite à la promo numérique. Et je suis assez d'accord sur comment Kissifrott le range entre Benvenutto (la verve en moins) et Fitz (les larmoiements en moins). On parlait aussi de Syffe, mais je trouve le cycle de ce dernier plus contemplatif. Il y a plus d'action avec Nox et je trouve ce dernier moins introspectif.
Et pour revenir sur le roman lui-même, j'ai le même ressenti que Eleen ci-dessus. Lecture sympathique. mais pas ébouriffante. Ca s'améliore crescendo et j'ai trouvé la fin un bon cran au-dessus. J'espère aussi que Nox va devenir un peu plus perspicace, parce qu'il est un peu niais par moment (sans que cela ajoute à son capital de sympathie). J'ai hâte de voir comment les deux trilogies vont interagir l'une avec l'autre et c'est ce qui va me pousser à lire le premier de Claire Duvivier.
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Tout comme belgarion j'ai une préférence pour la capitale du sud. Déjà la ville du sud raisonne plus avec mes expériences personnelles. Mais aussi j'ai trouvé ce premier tome plus approfondi côté sud tandis que celui du nord m'a paru plus abrupte notamment sur la fin. J'ai aussi l'impression que le tome du sud développe mieux ce que partage les cités notamment grâce aux légendes.
M'enfin les 2 tomes sont des tomes d'introductions, donc j'ai hâte de passer aux choses "sérieuses"
M'enfin les 2 tomes sont des tomes d'introductions, donc j'ai hâte de passer aux choses "sérieuses"
