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En tout cas, rupture de stock dans toutes les fnac de Paris. Ils sont pas bons leurs acheteurs.... ils ne prévoient pas les succès. :)D'ailleurs un vendeur en apprenant que l'auteur avait gagné un prix à repasser une commande pour être sûr, c'était avant qu'il fallait le faire....Je vais retarder ma lecture de ce livre.

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Oceliwin a écrit :En tout cas, rupture de stock dans toutes les fnac de Paris. Ils sont pas bons leurs acheteurs.... ils ne prévoient pas les succès. :).
Très bonne nouvelle pour les Moutons Electriques. Je suis content pour eux. ils avaient fait des efforts en réduisant le nombre de coquilles et en changeant de maquette avec l'excellente collection de la Bibliothèque voltaïque.Du coup, j'espère bien qu'on va en avoir des Gagner la Guerre à Etonnants Voyageurs...:(:)Zedd

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Méfiance Méfiance.Rien ne dit que c'est du fait de son succès.Il peut s'agir plus probablement du fait que le livre est vite remisés pour faire place aux nouveautés!Mais j'espère me tromper.

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Là je ne pense pas, car des nouvelles commandes avaient déjà été passé au moins dans la FNAC où je suis passé. Et là, il n'y avait vraiment aucun exemplaire disponible sur Paris. Hors pour d'autres livres, comme Acacia, qui avait été vite remisés suite à succès mitigé, j'avais rien trouvé dans les étagères, mais la fnac en avait dans leur réserve.Espérons que ce livre retrouve vite les étals des FNAC et connaisse son succès. :)

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Tisse Ombre a écrit :Méfiance Méfiance.Rien ne dit que c'est du fait de son succès.Il peut s'agir plus probablement du fait que le livre est vite remisés pour faire place aux nouveautés!Mais j'espère me tromper.
Je ne pense pas. Dans la librairie où je vais, les gens demandent par eux-même Gagner la Guerre et même Janua Vera. Je pense que le buzz autour du livre, le prix et le bouche à oreille font tous trois des effets au niveau des ventes. Rappelons-nous que la même chose avait eu lieu pour La Horde du Contrevent. Je souhaite à Jaworski de connaître autant de succès que Damasio.:)Zedd

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Je n'ai aucun lien avec le monde de l'édition... je tiens à préciser!Mais quand je lis
Sans compter qu'il bénéficie d'une promo peu habituelle pour un livre fantasy.J'en veux pour preuve ceci.
comme j'ai l'esprit "mal placé", je comprends : "matraquage publicitaire à outrance" grâce aux "copinages" biens placés -eux! - et immérités....Serait-ce de la naïveté de croire que le livre est excellent par lui-même?De plus, il est sorti vers le 17 mars, l'article est du 21 mai .... Ils ont pris leur temps pour la promo! (d'habitude, c'est avant la sortie du livre)Il a gagné le prix imaginale, normal qu'il ait un article si "libé" avait envoyé un journaliste!

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Tu as vraiment l'esprit mal placé. :PJe ne pense pas qu'Ithildor parlait de matraquage publicitaire. Mais plutôt, que ce livre bénéficie suite au prix Imaginales, d'une pub que peu de livres fantasy ont.

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Nigelle de Damas a écrit :Je n'ai aucun lien avec le monde de l'édition... je tiens à préciser!Mais quand je lis
Sans compter qu'il bénéficie d'une promo peu habituelle pour un livre fantasy.J'en veux pour preuve ceci.
comme j'ai l'esprit "mal placé", je comprends : "matraquage publicitaire à outrance" grâce aux "copinages" biens placés -eux! - et immérités....Serait-ce de la naïveté de croire que le livre est excellent par lui-même?De plus, il est sorti vers le 17 mars, l'article est du 21 mai .... Ils ont pris leur temps pour la promo! (d'habitude, c'est avant la sortie du livre)Il a gagné le prix imaginale, normal qu'il ait un article si "libé" avait envoyé un journaliste!
Euh...oui, dans ce cas précis, tu as l'esprit mal placé ;)Je voulais simplement dire que c'était rare qu'un livre de fantasy ait droit à une apparition dans les pages (web) d'un quotidien national "classique". Et que du coup j'étais assez content de voir qu'on en a parle ailleurs que dans des magazines ou des sites web spécialisés. Ce n'était absolument pas une critique envers l'auteur ou la campagne de pub du livre (que j'aimerai d'ailleurs bien lire, Machiavel, moi ça me parle.)Au fait, il faut absolument avoir lu son livre précédent ou c'est indépendant?

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Non, pas une "obligation, mais un sérieux "plus" (il est en poche chez "folio-Sf)Benvenuto n'apparait que dans une nouvelle - très bonne- mais pour "l'ambiance" du vieux royaume, les nouvelles parfaitement ciselées donnent une assise au roman,qui est centré, lui, sur un perso et son appréhension de son environnement !

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Ithildor a écrit :Sans compter qu'il bénéficie d'une promo peu habituelle pour un livre fantasy.J'en veux pour preuve ceci.
Il lit bien ! Ça donne presque plus envie de l'écouter lu par l'auteur que de le lire en lecture silencieuse :p

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Attaqué à la suite du Déchronologue et pour le moment je reste sur ma faim (oui, je deviens très difficile en ce moment, au milieu de toute cette qualité). Je rejoins globalement tout ce qui a été dit précédemment et en particulier les comparaisons à Verlanger (pour les phrases marquantes) et à Gene Wolfe pour l'utilisation d'un vocabulaire pointu (mais qui passe mieux chez Jaworski).Donc c'est clair que c'est un très bon livre avec beaucoup de qualités, tout comme Tolkien. La comparaison n'est pas anodine. Si pour moi le SdA (c'est à lui que je pense en particulier) est un très bon livre, ce n'est pas un livre exceptionnel à cause de son mauvais découpage, du fil de l'intrigue. Et je ressens la même chose pour Gagner la guerre !C'est beau, c'est brillant et bien pensé, mais c'est trop lent. L'auteur (si j'ai bien compris son but) penche vers un livre d'action, mais il délaye trop. Ca traine, ça traine et il faut se farcir des pages de descriptions pour avancer pas bien vite. Du moins, c'est mon impression sur les 180 premières pages. Et pourtant l'auteur sait aussi être efficace, j'attends d'ailleurs qu'il s'emballe et redresse la barre sur le reste du roman. Parce que là je m'endors par moment... :sifflote: (désolé pour la provoc, mais je suis fatigué en ce moment :P )PS : et avant que l'on me dise "tu n'aimes que l'action pure", je répondrais que non, que j'ai par exemple apprécié pleinement L'Ombre du bourreau malgré (à cause de) sa lenteur, tout simplement parce que Wolfe ne cherche jamais à nous vendre de l'action mais plutôt un joli voyage. Et c'est sur ce point qu'il diffère de Jaworski pour moi.

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Mea culpa. Je suis sans doute allé un peu vite en besogne ;) va pour le qualificatif de livre d'intrigues politiques. Ce que je voulais dire c'est que j'ai l'impression que c'est un roman "actif" (à défaut de trouver le terme qui convienne parfaitement) et pas "passif / contemplatif", alors que pourtant l'auteur utilise un rythme très lent. Et c'est cette ambivalence qui me chiffonne un peu. J'espère que la suite du livre va me détromper.Cela dit, je n'ai pas dit que le roman n'était pas bon, hein ;) juste que pour le moment, il pourrait devenir meilleur pour moi :)

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Lu quatre chapitres jusqu'à présent (
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) et je ressens une ambiance. Je trouve que cette façon, lente peut-être, de poser les choses, sert assez bien le récit.Beaucoup de répliques assez cocasses...j'attends de voir la suite, mais en tout cas ça se lit vraiment très bien, malgré un langage "sophistiqué" (Benvenuto qualifierait-il son parler de la sorte ? ;) ). En fait, je crois qu'une petit période de latence s'impose au tout début, mais une fois pénétré dans l'histoire, c'est le genre de bouquin qu'on ne lâche qu'à regrets.

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Ce fut ainsi, par la petite porte, que je m'introduisis dans la famille du Podestat.
Ce que j'ai pu rire ;) et en même temps, c'est vraiment un passage ignoble. Mais il faut reconnaître que Benvenuto (Jaworski) a un don pour les répliques qui tuent.PS : et vous avez échappé à celle-là en guise de citation du jour ;)

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Voilà, j'ai enfin terminé ce pavé et si la fin s'améliore de mon point de vue, je resterai sur mon opinion que le livre pourrait être quelque peu élagué. L'auteur se perd parfois dans son verbiage (et même si j'apprécie au contraire les efforts de style, le vocabulaire utilisé...), ce qui nuit au déroulement du scénario. C'est assez rare pour le noter, mais j'ai parfois lu en diagonale certains passages purement descriptifs. Un comble... :/D'autant que je ne trouve pas spécialement pertinent l'emploi de ce vocabulaire et de ces longueurs "précieuses" dans la bouche de Benvenuto. Non pas que ce dernier ne soit pas plus qu'un simple assassin, mais j'ai quand même du mal à le voir dans la peau d'un poète (car il ne faut pas oublier qu'en théorie c'est lui qui écrit).Bref, heureusement que la fin est haletante (en plus d'apporter des éléments magiques), car ça laisse une bonne impression finale. D'ailleurs, je trouve que la fin est assez proche de l'ambiance de la compagnie noire, c'est bien !

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Luigi Brosse a écrit :Voilà, j'ai enfin terminé ce pavé et si la fin s'améliore de mon point de vue, je resterai sur mon opinion que le livre pourrait être quelque peu élagué. L'auteur se perd parfois dans son verbiage (et même si j'apprécie au contraire les efforts de style, le vocabulaire utilisé...), ce qui nuit au déroulement du scénario. C'est assez rare pour le noter, mais j'ai parfois lu en diagonale certains passages purement descriptifs. Un comble... :/D'autant que je ne trouve pas spécialement pertinent l'emploi de ce vocabulaire et de ces longueurs "précieuses" dans la bouche de Benvenuto. Non pas que ce dernier ne soit pas plus qu'un simple assassin, mais j'ai quand même du mal à le voir dans la peau d'un poète (car il ne faut pas oublier qu'en théorie c'est lui qui écrit).Bref, heureusement que la fin est haletante (en plus d'apporter des éléments magiques), car ça laisse une bonne impression finale. D'ailleurs, je trouve que la fin est assez proche de l'ambiance de la compagnie noire, c'est bien !
Je comprends ton point de vue, mais, a l'opposé, je crois bien que pour moi, c'est ce qui me fait particulièrement attacher à ce livre- le plaisir des mots -en français VO! - une filiation personnelle avec Benvenuto : venant du "quart-monde", je dessinais dès 3 ans, j'ai appris à lire seule vers 4 ans(attachée au "cosy" avec un dico, pendant que ma mère se crevait à coudre à domicile-esclavage de la confection clandestine)L'écrivain avec lequel je ressens la plus grande communauté d'esprit et de sensibilité est .... Marcel ProustRien et tout en commun ! Comme Benvenuto ! On peut être très mal embouché en parole, et très littéraire en esprit!