Même expérience. Je n'avais pas du tout aimé le 1 mais j'ai quand même persévéré avec le 2 puisque de l'avis de beaucoup c'est le tome qui permet de savoir réellement si ça va le faire ou non. J'ai en effet nettement préféré ce volume-ci mais j'ai à nouveau calé sur le tome 3 que j'ai d'ailleurs lâché environ à la moitié, sans regret aucun et avec la conclusion que Erikson et son empire Malazéen ce n'est pas pour moi.toon a écrit : lun. 13 nov. 2023 11:29j'ai trouvé le Tome 2 nettement moins exigeant que le Tome 3. Pour ce dernier tu as intérêt à etre en forme (je ne devais pas l'etre dirons nous...)Zemog a écrit : dim. 12 nov. 2023 19:18 ouais mais toujours pas réussi à me mettre dans le tome 2 . J'ai essayé un peu mais trop crevé pour apprécier...bref va falloir s'y mettre quand le cerveau sera disponible
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3982Ah bah je vais faire une sacré cure de vitamines et de sommeil avant de tenter de m'y plonger...c'est agaçant parce que le 1er tome une fois entré dedans j'avais bien accroché , même si clairement il y a des longueurs parfois....j'avais lu plus haut un commentaire sur le personnage d'Anomander Rake, c'est clairement un perso super intéressant...t'as envie de suivre son histoire. Idem pour les brûleurs de ponts...t'as envie de suivre, t'as envie de savoir, t'es prêt à le faire...Mais faut être en forme.
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3983Je viens pour ma part de terminer le 10e tome. J'ai commencé en janvier donc c'est sur qu'on est sur un bon gros marathon.
J'enchaine avec les 6 tomes d'Esselmont, le 1er est clairement beaucoup beaucoup plus simple a lire et a suivre!
J'enchaine avec les 6 tomes d'Esselmont, le 1er est clairement beaucoup beaucoup plus simple a lire et a suivre!
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3984Oh bon sang, tu as vraiment enchainé !silentmussel a écrit : lun. 20 nov. 2023 09:22 Je viens pour ma part de terminer le 10e tome. J'ai commencé en janvier donc c'est sur qu'on est sur un bon gros marathon.
J'enchaine avec les 6 tomes d'Esselmont, le 1er est clairement beaucoup beaucoup plus simple a lire et a suivre!
Je ferai un marathon dans le genre dans quelques années, je pense, une fois que les derniers romans d'Erikson seront sortis
Des nouvelles du tome 3 de Kharkanas d'ailleurs ?
J'en suis au tome 4 du Malazan World, je vais bientôt le commencer. Clairement, je trouve cette série plus longuette que le Livre des Martyrs, même si les romans ne sont pas plus gros
"Libre à vous d'aller lire autre chose de plus franc du collier" La Cité de soie et d'Acier, de Mike, Louise et Linda Carey
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
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Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3985J'ai commencé début mai pour ma part.
J'en suis au milieu du Tome 6. Je cale un peu, mais je m'accroche.
Je sais pas si c'est une bonne idée de tous les enchainer, c'est long. Et il y a des passages vraiment mous, dispensables.
J'en suis au milieu du Tome 6. Je cale un peu, mais je m'accroche.
Je sais pas si c'est une bonne idée de tous les enchainer, c'est long. Et il y a des passages vraiment mous, dispensables.
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3986Respect à celles et ceux qui enchaînent ou ont enchaîné les 10 tomes.
Pour ma part, je ne l'aurai pas fait.
Pour ma part, je ne l'aurai pas fait.
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3987Je pense que c'est plus facile d'enchainer tant que les personages et evenements sont (relativemetn) encore frais sinon ca doit etre tres compliqué.
C'est pour ca que j'enchaine avec ceux d'Esselmont tout de suite
C'est pour ca que j'enchaine avec ceux d'Esselmont tout de suite
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3988J'ai ressenti un creux à un moment dans le tome neuf mais le principal problème c'était la sensation de manque une fois le 10 terminé.Gillossen a écrit : lun. 20 nov. 2023 12:25 Respect à celles et ceux qui enchaînent ou ont enchaîné les 10 tomes.
Pour ma part, je ne l'aurai pas fait.
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3990moi je l'aurai fait si cela avec été écrit par Joe AbercrombieGillossen a écrit : lun. 20 nov. 2023 12:25 Respect à celles et ceux qui enchaînent ou ont enchaîné les 10 tomes.
Pour ma part, je ne l'aurai pas fait.
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3992Bonjour
Retour sur ma lecture du livre "La Maison des Chaînes".
Après le suffocant "Les Souvenirs de la Glace", je m'interrogeais sur ce qu'Erikson pouvait proposer sans risquer de sombrer dans la surenchère pyrotechnique. Si je n'étais pas maintenant au fait de sa roublardise, j'aurais pu tomber dans deux chausse-trappes.
D'une part, l'ouvrage entre les mains, je me disais qu'il s'agissait du premier de la série dont le titre n'était pas cryptique. Erikson nous avait déjà présenté cette Maison des Chaînes dans le tome précédent. Allait-il nous offrir une vue sur l'Adversaire - avec un terrifiant rire sardonique pour bien appuyer la malfaisance innée de cette némésis ? D'autre part, le lieu et les protagonistes du volume laissaient également augurer, dans la lignée du précédent ouvrage, une confrontation épique entre les armées de Tavore et de Sha'ik.
Tout ceci serait trop simple et évident pour un tel auteur.
Mais avant de déjouer ces deux attentes, Erikson prend d'assaut une figure iconique de la fantasy.
Avec le parcours de Karsa Orlong, l'écrivain use de deux tropes pour mieux les détourner : celui du voyage du héros, son protagoniste quittant son univers familier pour s'éveiller au monde, et celui du barbare, symbole de la liberté originelle contre la civilisation décadente.
Pour celui du jeune teblor partant à la découverte sanglante du monde, le décalage naît de ce que le lecteur connaît le monde malazéen et ne le découvre pas avec Karsa Orlong. Pour celui-là la familiarité est celle du monde des "enfants", des hommes ordinaires, et l'étrangeté celle des us et coutumes du monde de Karsa. Le lecteur a donc à la fois une vision ironique - pour les évènements que le jeune teblor découvre - et naïve - lorsqu'il explore le monde du jeune chef de guerre : une sorte de voyage du lecteur en miroir de celui du héros campbellien.
Pour le trope du barbare libre et épris de renommée, Erikson nous livre une description réaliste, dénuée de tout lyrisme mais sans cynisme. Dans la culture teblor, l'expression de sa liberté et la quête du prestige passent par le massacre indistinct. Mais Karsa se voit révéler qu'il est lui-même soumis à un ensemble de normes et de mythes qui constituent ses propres chaînes, entraves d'autant plus pesantes qu'elles sont des titres de gloire. Il n'y a pas de liberté dans le monde barbare : il est lui-même le fruit d'une histoire. Le chemin de l'honneur de Karsa n'est en définitive qu'un vulgaire périple sanglant sans signification.
Le jeune guerrier vit dans un monde d'ignorance, tissé par les mythes de ses faux dieux et les contes des anciens.
Toutes ces illusions ont défini ses valeurs : mais ne sont-elles que des tromperies ? Ce n'est pas que la légende de Pahl qui sera ravivée par les prouesses de son petit-fils, mais aussi ce qui constitue la charpente de la communauté uryd, la manière dont le clan se conçoit lui-même. Un mensonge nécessaire, le justifieraient encore certains.
Mais une fois que Karsa s'est dépouillé de ses illusions, qu'il a perdu son innocence, il n'est plus question de revenir en arrière. Tout ce qui le constituait ayant disparu, il doit affronter la peur du néant.
Voilà qui nous amène à la question du titre du livre. Le monde est le lieu des chaînes, ces entraves qui à la fois nous brident et nous constituent en nous permettant de survivre à la contemplation des Abysses. Ce monde c'est le domaine de l'ambiguïté, et donc des ombres, qui n'ont de substance qu'entre ténèbres et lumière. C'est dans cet univers perfectible que l'humanité doit trouver sa place.
Il faut accepter cette ambivalence de la condition humaine. Après tout : "La nature n'a qu'un seul et unique ennemi. Le déséquilibre."
C'est dans ce domaine des ombres, dans ce royaume de l'incertitude que les hommes et les teblors peuvent découvrir leur liberté - et ses limites - et se bâtir une moralité et un foyer.
C'est ce chemin que Karsa va parcourir :
Il n'est en définitive qu'un maillon.
Karsa Orlong accomplira son chemin intérieur lorsqu'il aura
Car la Maison des Chaînes est bien plus grande que ceux qui rallieront le Dieu Estropié : c'est l'histoire de ceux qui ont été trahis et violentés - Sinn, Lostara Yil, Trull Sengar, Félisine, Karsa... en réalité la condition de chacun. Dès le prologue, Trull Sengar, le Tiste Edur, se retrouve enchaîné et évoque : "Ceux qui me retiennent captif."
Pour affronter le néant et faire de ce royaume des ombres un lieu vivable, Erikson pose la question de la communauté, ce qui nous amène à la question de la confrontation attendue entre Tavore et Félisine.
Pour les êtres, comme Onrack et Trull Sengar, l'amitié est un remède au désespoir. Il en est de même pour Torvald Nom et Karsa Orlong. Mais ce n'est pas une solution aux dimensions de l'enjeu.
comme cet échange entre ce dernier et Karsa Orlong le laisse entendre :
Il y a donc une voie : celle, étroite, de perdre son innocence, d'accepter l'imperfection de ce monde et d'y gagner une liberté qui ne soit pas aux prix de celle des autres.
Onrack comprend que le sens du devoir et le courage de son peuple ne sont que des leurres en l'absence de la possibilité de faire un choix. Les T'lan Imass sont morts de s'être enfermés dans leur Serment et l'impossibilité de choisir. : "En l'absence de mortalité, entité planant telle une épée invisible au-dessus de la tête de chaque être vivant, le sens même de l'existence se voyait dénué de toute pertinence." "un serment élevé au rang d'aliénation."
C'est en accueillant l'imperfection de ce monde, la douleur qu'elle cause et la compassion qu'elle engendre que la liberté peut être atteinte.
Et c'est cet espoir que le Dieu Estropié recueille, pour l'accomplir ou le trahir :
Dès lors, les deux attentes que j'évoquais au début de cette recension sont un leurre : nul besoin de dresser l'effigie à brûler d'un ennemi, ni de livrer une grande bataille. La lutte est en chacun de nous et dans les liens que nous tissons avec les autres. Si une illusion doit demeurer, peut-être est-ce celle de la création artistique.
Violain le dit mieux que je ne l'exprime : "La gloire de la bataille, Koryk, réside uniquement dans la voix du barde, dans les paroles tissées par le conteur. La gloire appartient aux fantômes et aux poètes."
Retour sur ma lecture du livre "La Maison des Chaînes".
Après le suffocant "Les Souvenirs de la Glace", je m'interrogeais sur ce qu'Erikson pouvait proposer sans risquer de sombrer dans la surenchère pyrotechnique. Si je n'étais pas maintenant au fait de sa roublardise, j'aurais pu tomber dans deux chausse-trappes.
D'une part, l'ouvrage entre les mains, je me disais qu'il s'agissait du premier de la série dont le titre n'était pas cryptique. Erikson nous avait déjà présenté cette Maison des Chaînes dans le tome précédent. Allait-il nous offrir une vue sur l'Adversaire - avec un terrifiant rire sardonique pour bien appuyer la malfaisance innée de cette némésis ? D'autre part, le lieu et les protagonistes du volume laissaient également augurer, dans la lignée du précédent ouvrage, une confrontation épique entre les armées de Tavore et de Sha'ik.
Tout ceci serait trop simple et évident pour un tel auteur.
Mais avant de déjouer ces deux attentes, Erikson prend d'assaut une figure iconique de la fantasy.
Avec le parcours de Karsa Orlong, l'écrivain use de deux tropes pour mieux les détourner : celui du voyage du héros, son protagoniste quittant son univers familier pour s'éveiller au monde, et celui du barbare, symbole de la liberté originelle contre la civilisation décadente.
Pour celui du jeune teblor partant à la découverte sanglante du monde, le décalage naît de ce que le lecteur connaît le monde malazéen et ne le découvre pas avec Karsa Orlong. Pour celui-là la familiarité est celle du monde des "enfants", des hommes ordinaires, et l'étrangeté celle des us et coutumes du monde de Karsa. Le lecteur a donc à la fois une vision ironique - pour les évènements que le jeune teblor découvre - et naïve - lorsqu'il explore le monde du jeune chef de guerre : une sorte de voyage du lecteur en miroir de celui du héros campbellien.
Pour le trope du barbare libre et épris de renommée, Erikson nous livre une description réaliste, dénuée de tout lyrisme mais sans cynisme. Dans la culture teblor, l'expression de sa liberté et la quête du prestige passent par le massacre indistinct. Mais Karsa se voit révéler qu'il est lui-même soumis à un ensemble de normes et de mythes qui constituent ses propres chaînes, entraves d'autant plus pesantes qu'elles sont des titres de gloire. Il n'y a pas de liberté dans le monde barbare : il est lui-même le fruit d'une histoire. Le chemin de l'honneur de Karsa n'est en définitive qu'un vulgaire périple sanglant sans signification.
Le jeune guerrier vit dans un monde d'ignorance, tissé par les mythes de ses faux dieux et les contes des anciens.
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Mais une fois que Karsa s'est dépouillé de ses illusions, qu'il a perdu son innocence, il n'est plus question de revenir en arrière. Tout ce qui le constituait ayant disparu, il doit affronter la peur du néant.
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C'est dans ce domaine des ombres, dans ce royaume de l'incertitude que les hommes et les teblors peuvent découvrir leur liberté - et ses limites - et se bâtir une moralité et un foyer.
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Pour affronter le néant et faire de ce royaume des ombres un lieu vivable, Erikson pose la question de la communauté, ce qui nous amène à la question de la confrontation attendue entre Tavore et Félisine.
Pour les êtres, comme Onrack et Trull Sengar,
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Onrack comprend que le sens du devoir et le courage de son peuple ne sont que des leurres en l'absence de la possibilité de faire un choix. Les T'lan Imass sont morts de s'être enfermés dans leur Serment et l'impossibilité de choisir. : "En l'absence de mortalité, entité planant telle une épée invisible au-dessus de la tête de chaque être vivant, le sens même de l'existence se voyait dénué de toute pertinence." "un serment élevé au rang d'aliénation."
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Violain le dit mieux que je ne l'exprime : "La gloire de la bataille, Koryk, réside uniquement dans la voix du barde, dans les paroles tissées par le conteur. La gloire appartient aux fantômes et aux poètes."
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3993Quel retour
Merci pour ton analyse, elle me donne envie de me replonger dan ce monde Malazéen. Ca tombe bien, j'ai Orb Sceptre Throne et les aventures de Bauchelain qui m'attendent dans la PAL.
Merci pour ton analyse, elle me donne envie de me replonger dan ce monde Malazéen. Ca tombe bien, j'ai Orb Sceptre Throne et les aventures de Bauchelain qui m'attendent dans la PAL.
"Libre à vous d'aller lire autre chose de plus franc du collier" La Cité de soie et d'Acier, de Mike, Louise et Linda Carey
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3994Si cela peut intéresser quelqu'un, le site Humble Bundle fait une promo sur les ebooks en anglais de M. Erickson (cf ici)
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3995Merci pour ce super retour, HerrFranz
Sinon je n'ai pas vérifié, mais j'ai dû prêter mon tome 8 VO d'Erikson à un ami qui me disait qu'il ne parvenait bizarrement pas à le trouver neuf en paperback.
Il me semble que j'avais moi aussi un peu galéré à trouver mon exemplaire aussi il y a 2 ans quand j'y repense.
Sinon je n'ai pas vérifié, mais j'ai dû prêter mon tome 8 VO d'Erikson à un ami qui me disait qu'il ne parvenait bizarrement pas à le trouver neuf en paperback.
Il me semble que j'avais moi aussi un peu galéré à trouver mon exemplaire aussi il y a 2 ans quand j'y repense.
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3996Après ta critique de Toll the Hounds, l'éditeur a dû juger que ce n'était plus la peine de l'éditer
De mon côté, je déprime de ne pas avoir le tome 2 de Bauchelain & Korbal Broach dans le format mass market paperback, il n'est sorti que dans un paperback un poil plus grand que tout le reste de ma collection
De mon côté, je déprime de ne pas avoir le tome 2 de Bauchelain & Korbal Broach dans le format mass market paperback, il n'est sorti que dans un paperback un poil plus grand que tout le reste de ma collection
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3997C'est juste décalé ou ce n'est carrément pas prévu ?
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3998Bon, en attendant, la couv du 5 en poche !
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
3999J'adore le style des couvertures poche. Et évidemment ce sera day one
"Je parle moins, maintenant. Plus je vieillis, plus je ferme ma gueule. Ce qui me faudrait, c’est le médaillon d'Harpocrate, avec le doigt sur la bouche comme ça. Je suis... désolé de n'être jamais revenu vous voir." - Arthur, Kaamelott livre V
Re: Critique ! [Le Livre des Martyrs - Steven Erikson]
4000Superbe en effet! je le prendrai ... bien qu'ayant déjà les 10 volumes en grand format.
" ... et aux plus idiots restait la politique. " A.Sapkowski