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Zali L. Falcam a écrit :Ben tiens, ça me ferait bien chier de payer mes cotises de la FPT qui ont augmenté aussi ET une autre caisse de retraite. Je "consens à l'impôt" comme on dit, mais je veux bien ne payer mon futur déambulateur qu'une seule fois :lol:
Oui, comme tu dis. C'est parlant, le coup du déambulateur, ça résumé bien. :huh: :lol:

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Même en littérature blanche, 10 000 c'est un gros tirage. Encore une fois, il y a le prisme déformant des gros éditeurs, des prix littéraires, etc. Mais le tirage moyen d'un roman, si tu prends l'ensemble des éditeurs, incluant les milliers de "petits", c'est 1 500 exemplaires a tout casser (et mes chiffres datent d'il y a quelques années).Après, c'est clair que le cinéma est pas du tout dans la même problématique, avec toutes les "curiosités" propres au CNC, à Canal +, au black, etc... Ceci dit, un certain nombre de petites structures de l'édition (édition locale, régionale, associatifs, petits éditeurs de non fiction) doivent aussi leur survie à des subventionnements précaires. Pour le coup, ça me semble tout à fait dans le rôle de l'Etat de leur filer un petit coup de pouce pour mener à bien des projets culturels locaux, d'ailleurs... Mais on parle de centaines d'euros par structure, pas de dizaines de millions comme dans le cinéma.

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Si on dévie sur le cinéma ça va vite s'envenimer... Parce que perso j'en ai un ras le bol de payer les cachets mirobolants d'acteurs nullissimes comme Dany Boon.:sifflote:

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Yksin a écrit :Si on dévie sur le cinéma ça va vite s'envenimer... Parce que perso j'en ai un ras le bol de payer les cachets mirobolants d'acteurs nullissimes comme Dany Boon.
Sauf que la c'est le mauvais exemple, parce qu'avec lui, qu'on aime ou pas (j'aime pas perso), il y a plus que souvent un retour sur investissement ;)Merci en tout cas aux auteurs pour leur éclairage, je n'avais vraiment pas les bonnes références sur ce sujet.
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Attention, Gwendal, là tu te trompes un peu. Il n'y a pas de retour sur investissement pour ceux qui ont payé le film (nous en gros puisque l'Etat subventionne un max). La thune, c'est pour les prétendus producteurs/réalisateurs de ces désastres cinématographiques. Bon là j'y vais un peu fort :sifflote:... En tous cas j'ai jamais eu de réduction d'impôt parce qu'un film de Dany Boon a fait un carton ! ;)

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Oui je comprends bien ton propos (et je suis tout proche de partager ton analyse sur la qualité de la chose), mais comme tout mécénat (ce que c'est en fin de compte) il n'y a pas de retour sur investissement pour le mécène :D
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Je pense que l'état le donne son avis, sinon comme pour beaucoup de domaine il fermerait le robinet, ce qu'il fait pour d'autres activités culturelles d'ailleurs. Après que l'utilisation de nos impôts ne nous convienne pas c'est une autre histoire qui potentiellement se règle dans les urnes (pour ce que ça sert je suis d'accord).Ps : fin du HS désolé.
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Santino a écrit :Mes petits canards, pas d'affolement. :)Le seuil d'affiliation à l'IRCEC (recalculé chaque année), s'élève pour 2014 à environ 8000 euros de DA. (Et pour l'Agessa, c'est à peu près la même chose.)Je vous souhaite de toucher autant, mais d'après ce que j'ai compris, nous n'en sommes pas encore là.Zali a donc vu juste. On ajoute ça au salaire, et basta.
Bwaah :o Merci de la précision ! :D

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De rien !Mais attention aux subtilités possibles : les seuils que je donne, c'est pour la cotisation. En deçà de ces montants, pas de cotisation. En revanche, peut-être faut il s'inscrire malgré tout à l'Agessa, dès qu'on touche des DA. ça, je ne sais pas trop... Cela peut valoir la peine d'aller sur le site de l'Agessa pour vérifier.

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Le plus marrant est d'aller lire son facebook, morceau choisi :
"Faut pas être triste !En vrai, j’arrête parce que je trouve un peu honteux ce que gagne un auteur sur un album de BD (l’auteur, faut savoir que ça peut comprendre, en tant que terme générique, le scénariste, le dessinateur, et, dans certains cas, le coloriste. Pour info, l’auteur touche 8 % sur un album.)Il reste à peine 92 % à se répartir, pour les autres malheureux acteurs de ce secteur magique (autres acteurs qui participent grandement à l’élaboration du scénario, du dessin, et de la mise en couleur).Je voulais arrêter de cautionner cette injustice.C’était par trop affreux.Si ces droits d’auteurs avaient été, disons, réduits de moitié, ou mieux, supprimés, alors là d'accord : j’aurais sans doute continué à faire de la BD. Mais je n’en puis plus. J’ai honte de gagner autant sur un album que j’ai à peine contribué à rendre possible."

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Yksin a écrit :Article payant par contre... On sait pas trop pourquoi il arrête !
Chez moi il devient payant au bout de quelques secondes seulement, ce qui fait qu'on peut arriver à le lire en actualisant la page plusieurs fois. ;)En bref : il arrête car le temps investi dans la BD ne vaut pas le maigre revenu qu'on peut en tirer.