Je vais remonter ce sujet-là mais ça aurait pu être un autre... en reprenant une réflexion que je me suis faite l'autre jour.
Rien que ce mois-ci, en anglais, arrive au moins un roman où une ancienne garde royale et un magicien veulent abandonner leur vie pour ouvrir une... librairie.
Alors, Légendes & Lattes, OK, c'était bien sympa. Et je comprends tout à fait que les éditeurs, voire les auteurs, veuillent profiter du filon. Mais, sincèrement, si on doit maintenant se taper des déclinaisons avec tous les commerces possibles et imaginables mais dans un cadre de fantasy épique...
On m'a répondu qu'en fait, ça vient d'une tendance en littérature générale, où on a eu plein de romans où le héros/héroïne changeait de vie en ouvrant donc un salon de thé ou autre. Moi qui en + pensais au moins que Baldree avait eu une idée originale... Mais alors, les copies de copies, au-secours.
Bien sûr, c'est juste mon avis, encore une fois, si ça marche, ça marche.
Merci !
