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MIAM! merci pour cette super info -Bankgreen est ma lecture choc de l'année (y'en a pas une tous les ans, alors, fin juin, je peux l'affirmer en toute bonne foi! ) L'univers de Bankgreen est super pour des nouvelles,je me réjouis beaucoup de pouvoir bientôt en lire une, la première d'une longue série, j'espère ?et bien sûr, ça vaut aussi, pour la (les ?) suite(s) du roman.Il y a tellement de possibles dans l'univers inexorable de Bankgreen, que moi qui n'ait jamais écrit d'histoire, j'en ai le vertige, et je me demande bien comment un écrivain "maintient le cap" quand les idées foisonnent?Alors, des nouvelles autour des romans, c'est comme des friandises!

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Bonne nouvelle, même si ce n'est pas vraiment une surprise, l'auteur n'ayant pas caché son envie de revenir sur Bankgreen... ;)Tant mieux s'il a le feu vert ! :D

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Nigelle de Damas a écrit :MIAM! merci pour cette super info -Bankgreen est ma lecture choc de l'année (y'en a pas une tous les ans, alors, fin juin, je peux l'affirmer en toute bonne foi! ) L'univers de Bankgreen est super pour des nouvelles,je me réjouis beaucoup de pouvoir bientôt en lire une, la première d'une longue série, j'espère ?et bien sûr, ça vaut aussi, pour la (les ?) suite(s) du roman.Il y a tellement de possibles dans l'univers inexorable de Bankgreen**, que moi qui n'ait jamais écrit d'histoire, j'en ai le vertige, et je me demande bien comment un écrivain "maintient le cap" quand les idées foisonnent?****Alors, des nouvelles autour des romans, c'est comme des friandises!
** J'aime beaucoup l'expression :-)**** Que voulez-vous dire exactement?

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T. Di R. a écrit :** J'aime beaucoup l'expression :-)merci!**** Que voulez-vous dire exactement?
Oh, j'ai bien du mal avec "exactement" ....en tout cas, je vous assure, ce n'est pas une demande de "recette", Grande lectrice depuis .... 10 lustres - je suis ébahie par la prouesse d'écrire un livre, d'inventer un monde.Au "pied levé ", je peux oralement inventer une historiette avec n'importe quoi ( pratique pour "neutraliser" sa progéniture remuante)-niveau maternelle pour moi donc mais je ne sais pas structurer. le "dosage" du cadre, de l'intégration des "péripéties" et des persos en vue (ou pas immédiatement?) d'un dénouement - c'est costaud !Et surtout, c'est "magique" quand on découvre un livre hors normes qui stimule l'imaginaire! je préfère de beaucoup garder mon émerveillement de lectrice quitte à ne jamais savoir le "comment?"_ merci m'sieur!

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Nigelle de Damas a écrit :
T. Di R. a écrit :** J'aime beaucoup l'expression :-)merci!**** Que voulez-vous dire exactement?
Oh, j'ai bien du mal avec "exactement" ....en tout cas, je vous assure, ce n'est pas une demande de "recette", Grande lectrice depuis .... 10 lustres - je suis ébahie par la prouesse d'écrire un livre, d'inventer un monde.Au "pied levé ", je peux oralement inventer une historiette avec n'importe quoi ( pratique pour "neutraliser" sa progéniture remuante)-niveau maternelle pour moi donc mais je ne sais pas structurer. le "dosage" du cadre, de l'intégration des "péripéties" et des persos en vue (ou pas immédiatement?) d'un dénouement - c'est costaud !Et surtout, c'est "magique" quand on découvre un livre hors normes qui stimule l'imaginaire! je préfère de beaucoup garder mon émerveillement de lectrice quitte à ne jamais savoir le "comment?"_ merci m'sieur!
C'est vraiment gentil. Et je comprends mieux votre propos.Je sais peut-être écrire des romans aussi dépaysants que possible, mais je ne sais pas faire grand-chose d'autre, vous savez; au bout du compte. C'est pour cette raison que je mets tout ou presque dans l'écriture.Le "comment" de Bankgreen? L'imagination - la mienne -, le plaisir à évoluer dans ce monde en même temps que les personnages, pendant l'écriture même, et la part de construction qui échappe presque à la conscience la plupart du temps. C'est mon truc, quoi, je sais à peu près le faire parce que j'aime le faire. Et parce que j'y crois.

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C'est trop la classe quand un auteur vient parler dialoguer sur Elbakin.net ! :frodo:Merci à Thierry Di Rollo de venir nous parler de son œuvre (qui est sur ma PAL en attendant l'été soit dit en passant) !

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Personnellement, je suis resté sur le bord du monde de Bankgreen. Cela faisait bien cinq ou six que je n'avais pas lu de roman de fantasy. J'ai voulu découvrir l'univers de Thierry Di rollo, il m'avait été conseillé car je suis un lecteur de roman noir. Et son univers est réputé pour être très sombre. Mais là je n'ai pas accroché du tout. Rien de rien. Je suis allé au bout de ma lecture, en pensant qu'il y aurait un déclic. Mais non. Que ce soit les personnages, le monde de Bankgreen, le style, j'ai trouvé cela trop abstrait. Je n'ai pas réussi à trouver où l'auteur voulait m'emmener.Je retenterais ma chance avec cet auteur mais dans un autre genre : le polar (Préparer l'enfer).Laurent.

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Si tu aimes le très noir, tu peux aussi essayer de lire ce qu'il a écrit en SF. Je me souviens encore avec émotion de cette grande claque qu'a été pour moi La profondeur des tombes.

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Albéric a écrit :C'est trop la classe quand un auteur vient parler dialoguer sur Elbakin.net ! :frodo:Merci à Thierry Di Rollo de venir nous parler de son œuvre (qui est sur ma PAL en attendant l'été soit dit en passant) !
Eh bien, dans ce cas, bonne lecture à vous, j'espère.

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Emporté par l'engouement suscité par ce roman, je l'ai acheté afin de découvrir cet univers si particulier encensé par Gillossen dans sa critique. las ! Je viens d'atteindre péniblement la 100ème page et j'attends toujours le vent qui va m'emporter dans les brumes de Bankgreen. Je suis plutôt perdu dans ces écharpes de brouillard qui me noient dans une atmosphère beaucoup trop abstraite à mon goût. Je retrouve les mêmes sensations qu'à la lecture des 5 premiers tomes des Princes d'Ambre de Zelazny. Le varanier ne m'inspire aucun sentiment et les personnages secondaires passent trop fugacement telles des feuilles soulevées par la brise. Je ne vois pas du tout où l'intrigue essaye de m'emmener, d'ailleurs j'ai du mal à percevoir les tenants et les aboutissants de cette histoire. Il faut sans doute se laisser aller et lâcher prise pour apprécier cette œuvre. Je n'y parviens manifestement pas. Je vais m'accrocher pour le terminer puis je retournerai vers des lectures plus ancrées dans une consistance physique qui me manque : Howard et consorts...

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Thierry Di Rollo a écrit :Bankgreen (suite...)La nouvelle d'introduction au deuxième volet de Bankgreen est écrite. "Excellente", dixit Olivier.Au sommaire d'un tout prochain numéro de Bifrost, donc. Restez à l'écoute.
De quoi illuminer un dimanche tout mou !

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Bon ben voilà, je pourrais faire semblant, tourner autour tout ça mais la vérité est d'une grande simplicité : je n'ai jamais atterri sur Bankgreen :/Je suis restée très haut dans le ciel sans jamais pénétrer l'atmosphère ni me sentir concernée en quoi que ce soit par le sort de cette planète et de ses habitants. Me suis accrochée, j'ai bataillé dans la brume, je me répétais c'est violet ça devrait te plaire (là, je plaisante :) ) mais rien pas d'étincelle, pas d'émotion. Mais surtout pas d'intérêt. Le livre et le lecteur ne se rencontrent pas toujours, je ne suis pas à un rendez vous manqué près ;) Et en plus en l'occurrence contrairement à d'autres livres je ne peux même pas dire "n'y allez pas" je peux juste dire allez voir vous-même mais moi, je n'ai rien vu. Cela dit, j'ai beaucoup aimé les Princes d'Ambre contrairement à Mithrandir. ce qui signifie sans doute qu'il est impossible d'établir un portrait robot des lecteurs en se basant sur leurs goûts ou désintérêts communs :) et c'est tant mieux finalement.

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J'ai un peu honte de l'avouer, mais j'ai laissé tomber le bouquin au bout de quelques chapitres. Je ne suis pas arrivée à rentrer dedans; Évidemment, maintenant, je me sens un peu bête. Je referai un essai !

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Bon, maintenant que les résultats sont connus, mon avis reprendra à peu près celui de Luigi.L'ambiance est superbe, et j'ai vraiment eu l'impression de vivre le climat dans lequel évoluent Mordred et les autres.J'ai véritablement été emporté par les mots et l'ambiance que T. Di Rollo a su créer avec talent. Au point que, quand j'y repense, plusieurs scènes marquantes me reviennent en mémoire, et c'est plutôt bon signe !:)Pour être complet, je n'ai par contre pas ressenti d'attachement pour les personnages (sauf Mordred peut être) qui restent de bout en bout assez opaques, et que certains jugeront sans doute trop froids.Un livre qui mérite une lecture, mais qui ne plaira sans doute pas à tout le monde.:)Et pour conclure ce passage de la critique de Gillo reflète parfaitement mon sentiment :
Bankgreen est donc un univers ô combien dangereux, mais tellement fascinant. Une chose est sûre : il est sans concession, à l’image de ce que nous propose son auteur, et il ne faudra donc pas compter sur lui pour se rendre plus accessible. Au lecteur de faire l’effort de se confronter à cette aventure capable de le perdre, de l’égarer au détour d’un sentier de cendres, une aventure aussi gratifiante que frustrante par endroits.

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Bravo bravoje suis vraiment très contente que ce livre qui sort vraiment de l'ordinaire ait eu le prix. Pour moi ça a été une de mes lectures les plus marquantes de l'année.