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#1 18/03/2003 21:13:40
Critique ! [Le cycle d'Ea]
Ca a l'air sympa ça !
The Lightstone
by David Zindell
From the author of Neverness comes a powerful new epic fantasy series as rich as Tolkien and as magical as the Arthurian myths.
On the island continent of Ea it is the Age of the Dragon. It is a time of chaos, war, and the dashed dreams of long-lost ages. Once again Morjin, the fallen angel is seeking the Lightstone. With it he will eventually find a way to free the Lord of Lies, the dark arch-angel imprisoned for a million years.
But strangely, it is also a time of light as the earth and sun once again enter the Golden Band. A champion has been born who will seek the Lightstone so that the prophecy of a new and glorious age can be fulfilled. His name is Valashu Elahad, and he is destined to become King. Blessed (or cursed?) with an empathy for all living things, he will lead his people into the lands of Morjin, into the heart of darkness, wielding a magical sword called Alkadadur.
But Morjin is not to be vanquished so easily. Greatness of soul is needed in order even to perceive the lightstone, and this Valashu must achieve before the final battle can begin…
"Spectacular world-making, a kind of reverse-coin of Dune, that carries sudden alarms of invention to give it all great immediacy."
THE TIMES on Neverness
"A Requiem for Homo Sapiens is easily the equal of Frank Hebert's Dune… beautifully crafted, and the characterization is exquisite."
SPECTATOR
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#2 18/03/2003 21:13:41
- luigi brosse
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Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Yeaaah ca a l'ar super bien, l'ambiance me plait déjà, c'est paru chez qui?
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#3 18/03/2003 21:13:42
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Harper collins
www.fireandwater.com
section sf et fantasy
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#4 18/03/2003 21:13:44
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Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Merci beaucoup, j'adore ce site, d'ailleurs j'ai acheté cet été chez eux une version intégrale du Sda (en anglais of course), couverture illustré par John Howe (Gandalf sur fond vert). Il est paru en France cet automne. Superbe...
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#5 18/03/2003 21:13:50
- luigi brosse
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Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Bon, puisque personne ne veut s'y coller, je vaisessayer de donner une petite traduction, je ne suis pas fortiche en anglais, donc ne vous attendez pas à la perfection...
L'auteur de Neverness nous propose une nuvelle serie d'Epic Fantasy, aussi riche que celle de Tolkien et aussi magique que celle du mythe arthurien.
Sur l'île-continent d'Ea, c'est l'ère du Dragon, un âge de chaos, de guerre, de rêve brisés depuis longtemp. Une fois encore Morjin, l'ange déchu cherche la Pierre de Lumière. Avec elle, il pourrait trouver un moyen pour libérer Le Seigneur des mensonges, l'archange sombre, emprisonné depuis un million d'années.
Mais étrangement, c'est aussi un temps de Lumière car la Terre et le Soleil entrent de nouveau dans La Période d'or. Un champion est né, qui cherche la Pierre de lumière afin que les prophécies parlant d'une nouvelle ère glorieuse puissent être accomplies. Son nom est Valashu Elahad et il est destiné à être roi. Béni (ou maudit) à cause de son empathie pour tous les êtres vivants, il ménera ses gens en pays de Morjin, au coeur des ténèbres, guidé par son épée magique Alkadadur. Mais Morjin ne peut être vaincu si aisement. La grandeur d'âme est nécessaire ne serait-ce que pour percevoir La Pierre de Lumière. Et c'est ce que Valashu doit apprendre avant que le combat final puisse commencer...
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#7 18/03/2003 21:13:55
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Donc en attendant la fin de ma lessive, comme y a rien à la télé, je vais vous traduire le texte de Prospero's Chidren
les textes entre parenthèses sont de moi au cas vous vous poseriez des questions
Une clé mythique est sur le point d'être découverte..., mais quelle genre de porte ouvrira-t-elle ?
Une mystérieuse demeure dans les landes reculées du Yorkshire attend Fern agée de 16 ans et son frère Will pour les vacances d'été. Leur moral est à plat (ok je brode là , devrais plutôt écrire le coeur fendu non ?, enfin bon passons) à la perspective des semaines d'ennui, mais au fur et à mesure que la maison livre ses secrets, leur monde familier vole en éclats, donnant accès à une terre magique et corrompue détruite des milliers d'années auparavant.
(Aah ? ma lessive s'arrête. Non c'est le cycle de rinçage maintenant)
A l'extérieur dans la lande, une pierre dressée regarde la demeure, mais pas toujours du même endroit; à l'intérieur une sinistre statues'éveille à une vie malveillante. La nuit, d'étranges créatures cherhcent à entrer. Et alors que leur vie sont envahies par le fantastique, Fern se retrouve courtisée par le mystérieux vagabond Ragginbone (littéralement Os taquin ), et le sinitre marchand d'art Javier Holt, car ils savent qu'elle a le Don : un talent unique et puissant pour le magie pas vu depuis 10000 ans.
Caché dans la maison se trouve un talisman recherché par les forces du bien et du mal depuis des millénaires. Un talisman si puissant qu'il peut modfeler le temps, détruire des civilisations et peut-être même vaincre la mort. Et seul quelqu'un doté du Don puet l'utiliser. Alors que les évènements se précipite vers un paroxysme désespéré et fatal, Fern et Will doivent décider qui, et quoi, croire.
C'est de la fantasy anglaise au mieux. Prospero's Chidren s'insère entre "Le lion, la sorcière et l'armoire" (Chroniques de Narnia pour ceux qui connaissent pas ) et WeavWolrd de Clive Barker (un maître de l'horreur moderne, les livres de sangs, Imajica, Undying -le jeu vidéo
) et est destiné à devenir un classique moderne.
Voilà c'est fini (pas comme ma lessive)
Sachez également que la suite est sorti et se passe 14 ans plus tard.
Je sais pas pour vous, mais ça me fait un peu penser au Faerie de Feist Vous trouvez pas ?
Qu'est qu'on dit à Tonton Zébulon ?
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#8 18/03/2003 21:13:56
- Gorbadoc
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Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Dans le Zébulon, tout est bon.
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#9 18/03/2003 21:13:57
- Eolle
- Souffleuse de Mots
- Lieu: Beaucoup ailleurs...
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Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Ho !
Je sens que ça va me plaire ce livre !!!!!
(En ce moment, je retombe en enfance grâve !!! C'est l'âge ma bonne dame, horloge biologique, tout ça tout ça ! )
Mais je sens qu'il fait encore partie de ta série éditée qu'en anglais.... snif...
Tu dis que ça peut se trouver chez Gibert ce genre de livres ?
"Ne devenez jamais pessimiste. Un pessimiste a plus souvent raison qu'un optimiste, mais l'optimiste s'amuse plus — et aucun des deux ne peut arrêter la marche du monde."R. Heinlein
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#11 18/03/2003 21:15:09
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Une critique pas si positive que ça...
Bon courage, encore une fois, c'est 100% VO.
Well, first of all, what's the plot? The ancient world of Ea has passed through many ages and its history has been dominated by a mystical artifact, the Lightstone, a holy-grail which holds the promise of world peace and immortality. This has been found, lost, stolen, seized in battle and lost all over again down through the ages, and possessing it has always been the ultimate goal of Ea's home-grown Dark Lord, the evil immortal Morjin, Father of Lies (does any of this sound familiar to you? think Silmarils, think Orb of Aldur...).
As the story opens, Ea has reached a critical point, with Morjin on the rampage across much of the world, and the great King of Alonia calling for a grand quest to recover the Lightstone, wherever it may be.
Among the thousands of knights and adventurers answering his call comes Valashu Elahad, seventh son of the King of Mesh. Val, as he's familiarly called, is of noble lineage and poor prospects. He's a thoroughly nice young man, well-educated, poetic, generous, genteel. He's a splendid warrior, but an innate pacifist due to his mysterious empathic ability which forces him to experience the joys and fears and pains of anyone he's near (thus, killing people is not easy for him). He was born with a peculiar lightning bolt scar on his brow, and if there aren't enough portents in his background already, he starts seeing visions of the Lightstone just as soon as news of the quest reaches his father's castle.
Well, Val duly sets out towards Alonia. As he does so he begins accumulating companions in much the same way that lemmings accumulate friends and relatives before jumping off the top of Scandinavian cliffs. There are would-be assassins and sinister hunters on his track before very long, and the evil Morjin is soon doing a torment/seduction routine in his dreams...
Is this story formulaic, you ask me? Please! One can just about see Zindell bending over the 'Great Fantasy Writers Cookbook' mumbling to himself: "Hmmm... take two teaspoons of Tolkien, add a cupful of Eddings, three ounces of Jordan and a pinch of Brooks to flavour..." I wish I could be more positive, but there are too many lost opportunities here, and too many easy shortcuts. Zindell has made bold gestures in several directions, and done his damnedest to pull all the stock levers which the genre provides, but to little positive effect.
He has set out to create an interesting culture of mystic warriors (Val's Valari people) but given inadequate space to examining their precepts and methods. He has attempted to create a deep well of history and legend to backdrop his current story, but it all feels superficial and swiftly skated over. He has tried to create a world of great cities, magnificent panoramas and mighty edifices, but at points his simple ability to visualize and describe seems to have completely failed him and he falls back on bald declarations such as "it was the most impressive thing I had ever seen" (where was the editor!).
Then again, the prose is not particularly outstanding, and very frequently Zindell drops out of scenes and active dialogue in order to simply do an info-dump to the reader: "She told us very little of how they did this. She hinted at the power of the great trees to keep strangers away and at a secret that the Lokilani shared with each other but not with us..." Reported speech? No rule against it, and Zindell used it to good effect in his previous work, but this example comes out of the middle of a scene with the characters all sitting around outdoors chatting and enjoying a rustic picnic, and it damages the story.
It's as if Zindell couldn't be bothered to do the work to recount the conversation; worse, it's as if he's forgotten that you can't endow a summarised report like this with any hint of character or tone. It doesn't intrigue, it doesn't enthuse, and it can't be made frightening. When he begins to do the same thing to represent Morjin's night-time intrusions into Val's dreams the experience comes across as if the character were saying "the Dark Lord gave me very bad dreams that night, and it was really awful..."
Sadly one can only say that Zindell has fallen very far short of the mark he set in his earlier work. The same preoccupations are there; the struggle of a hero who yearns for peace and embraces pacifism in a world that denies such possibilities, the grand quest for an object of divine power through manifold challenges, dangers and marvellous discoveries... but the execution is tainted by an unhealthy reliance on too many stock genre motifs and situations, and tainted even more by its strange echoes of Zindell's previous novels.
In certain ways these 'echoes' are astonishingly strong. Key characters in The Lightstone are very clearly just re-presentations of others from "A Requiem for Homo Sapiens"; their appearance, their behaviour, their speech, their relations to each other, are blatantly similar. It almost seems that Zindell has only one set of characters at his disposal, and, lacking the ability to generate wholly new ones simply clothed his old protagonists in the forms and style of a piece of stereotypical fantasy. Likewise places, and names from history, and even various orders of angels all seem to be reflections or re-uses of elements of his earlier work.
Eventually, the weight of these reflections drives one to ask, is this truly a fantasy? or is it a piece of SF, actually linked to Zindell's earlier stories, in which the characters are living on a world that's fallen into a semi-medieval state? Certainly some of the characters have mysterious abilities, but are they magical powers? or psychic talents? One keeps hunting through the historical asides, looking for a solid answer amidst what might be allusions to "A Requiem to Homo Sapiens", and ultimately this uncertainty becomes a cause of considerable frustration. Perhaps Zindell is attempting to make a statement about how easily the lines between the genres can be blurred. If so, it's too subtle a point to be worth the damage it does to the reading experience.
At the end, what has Zindell done? Well, he has written a long piece of highly formulaic fantasy, displaying many of the standard elements of the genre, but without breathing any fresh life into them, and has reprised some of the ideas and concerns of his earlier work, but with nothing like the same level of insight or freshness of language and approach.
The Lightstone is supposed to be only the first volume in a projected 'cycle' of... how many books? Three, four, five? I don't know. But if the quality of the writing and the originality of the setting and plot do not sharply pick up, it will be a long and weary road indeed...
C'est décidé, ce sujet est rebaptisé en fonction de ces deux romans. Lorsque j'aurais reçu, lu, et critiqué the Lighstone, c'est ici que nous en disserterons.
Idem pour Prospero's Children avec Eolle.
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#12 18/03/2003 21:15:10
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
"Hmmm... take two teaspoons of Tolkien, add a cupful of Eddings, three ounces of Jordan and a pinch of Brooks to flavour..."
En somme, c'est un roman décevant par rapport à ce que cet auteur a fait avant dans le domaine de la SF, c'est ça ? Sans être mauvais pour autant... Bon, j'attendrais la critique de Gillo alors !
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#13 18/03/2003 21:15:14
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Mon exemplaire est en route, je devrais le recevoir demain ou après-demain. De quoi m'occuper durant mes quelques jours d'arrêt...
Eh bien, ce sera pour demain Samedi, car aujourd'hui, rien ! Dommage, j'aurais bien aimé me changer les idées avec...
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#14 18/03/2003 21:15:15
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Et voilà !
En grand, c'est tout de même mieux, même si cela ne vaut pas la taille réelle.
On va bien voir si c'est bel et bien aussi " rich " que Tolkien et " magical " que le Morte D'Arthur.
" David Zindell's massive epic fantasy The Lightstone is only the first volume of The Ea Cycle and is characterised by the same grandeur and vividly imagined scenes of glory and dismay as his space operas--the sequence which starts with Neverness. Like them, it is remarkable for scale, ambition and a capacity to evoke sinister beauty; in their case a thousand exploding suns; here a desperate battle in the underground throne room of a Dark Lord and the burning of a great library."
Une interview vidéo pour la route : javascript:Openwin('http://www.fireandwater.com/Video/Zindell.mov');
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#16 18/03/2003 21:15:17
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
J'ai finalement pu l'attaquer " proprement " ce roman... Et je suis déjà sous le charme, qui s'installe dès les premières pages ! Tout ça m'a l'air d'être un véritable bonheur de lecture, à la croisée de toutes les ambiances que j'aime. Super.
D'ailleurs, j'en ai fait la citation du jour :
" Un guerrier Valari, m'avait-il dit une fois, devait d'abord polir son âme et ensuite son épée. Alors seulement, il pouvait voir son destin et l'accepter. Ou lutter contre lui s'il était l'un des rares hommes appelé à le forger lui-même. "
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#17 18/03/2003 21:15:18
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Ce roman est vraiment puissant, porté pour un souffle sans équivoque, et cela se sent tout de suite, dès les premières pages. Je me demandais si cela ne pouvait pas être un " faux départ ", mais non, ça se confirme. Evidemment, je n'ai pas pu beaucoup avancé et j'en suis à la page 78 quand il y a en a plus de 800...
Il y a tout, dans le ton, le vocabulaire, la narration, les personnages et leur mise en scène... Pour le moment, je suis tout à fait bluffé.
Je vous aurais bien traduit un chapitre entier tant je suis enthousiaste, mais bon, je n'ai pas le temps de toute manière.
A ces mots, le visage du Seigneur Asaru pâlit, tout comme celui du Seigneur Harsha, et j'imaginais, le mien. Autrefois, il y a longtemps, une armée Valari avait franchi le Wendrush pour rejoindre les Alonians dans un assaut sur Sakai. Et à la Bataille de Tarshid, Morjin avait usé des pierres de feu et autres fourberies pour nous défaire complètement. On avait dit qu'il avait ensuite fait crucifier le millier de survivants Valari tous les vingt milles de la route menant à Sakai. Ses prêtres avaient ouvert les veines de nos guerriers de leurs couteaux et bu leur sang. Toutes les histoires indiquaient cela comme le début de la Guerre des Pierres.
Evidemment, personne ne savait si le Morjin qui dominait aujourd'hui Sakai était le même homme qui avait torturé mes ancêtres : Morjin, le Seigneur des Mensonges, le Grand Dragon Rouge, qui avait dérobé la Lightstone et qui l'avait maintenu caché dans sa cité souterraine d'Argattha. Beaucoup disaient que le présent Morjin n'était qu'un sorcier ou un usurpateur qui avait pris le nom le plus terrible de l'Histoire. Mais mon grand-père avait toujours pensé que ces deux Morjins étaient une seule et même personne. Tout comme moi.
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#19 18/03/2003 21:15:20
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
C'est... assez classique tout ça... Mais ça marche à tous les coups ! En plus, je ne sais pas, il y a quelque chose dans les noms... Le "Je", c'est tout le temps, ou seulement dans certains passages ?
Hwi, intriguée.
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#20 18/03/2003 21:15:21
Re: Critique ! [Le cycle d'Ea]
Je suis toujours aussi sous le charme... Je ne saurais définir exactement à quoi ça tient, mais je suis pris dans ses filets. C'est vraiment l'ambiance, encore une fois, je crois... Bref, je vous tiens au courant.
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