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Le Chant de la Terre

(Ce Cycle est En Cours)

Auteur/Autrice : Coney Michael
Le Chant de la Terre

La Grande course de chars à voiles

Le Chant de la Terre est supposé extrait d’un chant épique qui relate l’histoire de l’humanité, plus quelques autres, et qui a tant proliféré au fil des temps qu’il faudrait plus d’un siècle pour le réciter en entier. Nous ne disposons donc que de fragments en cinq volets, La Grande Course de chars à voilesLa Locomotive à vapeur célesteLes Dieux du grand loinLe Gnome et Le Roi de l’île au sceptre
Le cycle conte la mésaventure d’un presque dieu, Starquin le Cinq-En-Un, qui, se promenant dans l’univers des aléapistes, autrement dit des possibles, se trouva piégé quelque part dans l’espace par les champs de mines d’une guerre interstellaire future. Malgré ses pouvoirs, il risque d’y périr d’inanition au bout de quelques millénaires si l’histoire ne peut être réécrite afin de le libérer. 
La Grande Course de chars à voiles constitue le prologue du cycle, et se situe dans un Brésil futur, en un temps ou la technologie sauvage qui a menacé de détruire la Terre a été oubliée et ou la sculpture des êtres vivants a pris sa place : Karina, l’héroïne du roman, est une félina, issue d’un croisement de Vrai Humain et de chat, elle a la beauté d’une femme et la souplesse d’un fauve, sa cruauté et sa violence. La vie lui fera rencontrer Raoul, le fils du capitaine indomptable, tandis que se déroule sur un rail unique, à travers forêts, jungles et marais, la terrible, la fantastique grande course de chars à voiles… 

Le Chant de la Terre

La Locomotive à vapeur céleste

Le Chant de la Terre est supposé extrait d’un chant épique qui relate l’Histoire de l’humanité, plus quelques autres, et qui a tant proliféré au fil des temps qu’il faudrait plus d’un siècle pour le réciter en entier. Nous ne disposons donc que de fragments en cinq volets, La Grande Course de chars à voilesLa Locomotive à vapeur célesteLes Dieux du grand loinLe Gnome et Le Roi de l’île au sceptre. Le cycle conte la mésaventure d’un presque dieu, Starquin le Cinq-En-Un, qui, se promenant dans l’univers des aléapistes, autrement dit des possibles, se trouva piégé quelque part dans l’espace par les champs de mines d’une guerre interstellaire future. Malgré ses pouvoirs, il risque d’y périr d’inanition au bout de quelques millénaires si l’histoire ne peut être réécrite afin de le libérer. 
La Locomotive à vapeur céleste relate comment la « Triade », composée de trois humains d’espèces différentes, la Fille, Zozula le Cuidador et Manuel l’Humain Sauvage, entreprend de libérer Starquin le Cinq-En-Un vers l’an 142 000 de notre ère en explorant le « Pays des Rêves perdus »… 

Le Chant de la Terre

Les Dieux du Grand Loin

Le Chant de la Terre est supposé extrait d’un chant épique qui relate l’histoire de l’humanité, plus quelques autres, et qui a tant proliféré au fil des temps qu’il faudrait plus d’un siècle pour le réciter en entier. Nous ne disposons donc que de fragments en cinq volets : La Grande Course de chars à voilesLa Locomotive à vapeur célesteLes Dieux du Grand-LoinLe Gnome et Le Roi de l’île au sceptre
Le cycle conte la mésaventure d’un presque dieu, Starquin le Cinq-En-Un, qui, se promenant dans l’univers des aléapistes, autrement dit des possibles, se trouva piégé quelque part dans l’espace par les champs de mines d’une guerre interstellaire future. Malgré ses pouvoirs, il risque d’y périr d’inanition au bout de quelques millénaires si l’histoire ne peut être réécrite afin de le libérer. 
Les Dieux du Grand-Loin raconte, entre autres choses singulières et mystérieuses, la fin de la quête de la Triade composée de trois humains d’espèces différentes : Zozula le Cuidador, Manuel l’humain sauvage et la Fille qui n’avait pas de nom. Vous saurez comment ils affrontèrent les Loups du Malheur et les vainquirent finalement, contribuant pour leur part, petite mais essentielle, à la libération de Starquin, le presque dieu, comment la Fille, une néoténite qui ressemblait a un bébé de taille adulte, finit par devenir une femme parfaite, et comment Manuel l’aima successivement sous ses deux formes… 

Le Chant de la Terre

Le Gnome

Le Chant de la Terre dont Michael Coney a déjà communiqué aux Terriens de notre siècle trois fragments, La Grande Course de chars à voilesLa Locomotive à vapeur céleste et Les Dieux du Grand-Loin, couvre le passé, le présent et le futur de l’humanité ; mais aussi tous ses possibles qui suivent d’autres aléapistes. 
À la suite de l’attaque sauvage des habitants de la Planète Rouge, les humains furent contraints de se défendre en semant dans l’espace des Bombes de Haine. Le système solaire s’en trouva protégé, mais ses habitants furent coupés de leurs colonies stellaires et leur civilisation commença de décliner. Surtout, les Bombes de Haine retinrent prisonnier dans la région du système solaire un être immense et puissant, Starquin. Celui-ci dut, pour se libérer, intervenir dans les affaires humaines pendant plus de trente-six millénaires. Le gnome Fang devait jouer un rôle dans la série d’événements qui conduirait des milliers d’années plus tard à la destruction ou à la libération de Starquin, le Cinq-en-un. Il mit en fuite, un peu par erreur et beaucoup par chance, un horrible monstre, du moins à son échelle, et devint un héros de légende. Cela lui assura, comme à la licorne, à la jeune Nyneve et à une poignée d’humains, une place dans Le Chant de la Terre
C’est bien entendu sur une aléapiste différente de la nôtre qu’ont existé gnomes, licorne, chevaliers de la Table Ronde et autres dragons. Mais cette aléapiste a, un certain temps, croisé la nôtre au point de susciter nos mythes et de permettre à Michael Coney, maître des mots et créateur d’un univers sans égal, de transgresser les frontières entre genres et d’annexer les terres brumeuses des légendes à l’avenir cliquetant de la science-fiction. 
Le Chant de la Terre, dont Le Gnome est le quatrième volet, se situe à la lisière de la science-fiction et du mythe. Par son souffle, sa dimension épique, son imagination échevelée, il égale les plus grands livres univers de la fantasy et de la science-fiction.

Le Chant de la Terre

Le Roi de l'île au sceptre

Le Chant de la Terre raconte l’histoire de l’humanité sur de nombreuses aléapistes pendant des dizaines de millénaires. Michael Coney a déjà entrepris d’en relater des fragments dans quatre romans d’une imagination et d’une poésie exceptionnelles : La Grande Course de chars à voilesLa Locomotive à vapeur célesteLes Dieux du Grand-Loin et Le Gnome
Dans le lointain avenir, Starquin le Cinq-en-un, être aux pouvoirs divin, s’est trouvé pris au piège au plus profond de l’espace par une humanité qui l’ignore. S’il ne peut se libérer, il mourra. C’est pourquoi il entreprend de remanier les possibles, les aléapistes du passé le plus lointain, par l’intermédiaire des Didons, à l’apparence de femmes, mais immortelles.
Bien entendu, le roi de l’île au sceptre, c’est Arthur, l’inventeur de la Table Ronde. Dans cet ouvrage, ces aléapistes se mettent à communiquer parfois, voire à se confondre, et les gnomes se retrouvent dans les univers des géants, c’est-à-dire celui des redoutables chevaliers de la Table Ronde, et le nôtre. Dans le lointain avenir de ce dernier, la plupart des Vrais Humains vivent protégés sous les dômes à l’intérieur d’univers virtuels, des univers de rêve, de fiction, ou il perdent leur vie et tout sens de la réalité. Et il ne faudra rien de moins que l’intervention d’êtres venus d’autres aléapistes, telle la fée Morgane, pour les éveiller.

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