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La Trilogie de Gormenghast
Titre VO: Gormenghast (Ce Cycle est Terminé)
Titus d'Enfer
Premier roman de la célèbre Trilogie de Gormenghast, où Mervyn Peake (1911-1968) invente un univers de fiction aussi étrange, aussi inquiétant que celui de Tolkien - une large dose d’humour féroce en plus…
Une vaste métaphore de l’humaine condition, picaresque et irrévérencieuse à souhait, qui fit se récrier d’aise Grahame Greene… et comparer Peake à Rabelais, Swift, Powys - rien de moins.
Gormenghast
Deuxième « roman » de la Trilogie de Gormenghast, qui fit comparer Mervyn Peake (1911-1968) à Rabelais, Swift, Rimbaud, Powys — rien de moins. La critique cita aussi en référence, et de façon récurrente, l’œuvre de Tolkien. Mais on aurait affaire, alors, à un Tolkien qui aurait cédé sans retenue aux avances du beau délire et de la mystification.
Le lecteur retrouvera donc, avec un plaisir qu’on veut croire extrême (tout ici est extrême), les singuliers héros de Titus d’Enfer et tous les hôtes du château-labyrinthe de Gormenghast, pour de nouvelles aventures non moins sidérantes.
Graham Greene, lorsque l’œuvre fut enfin révélée au large public, avait été le premier à crier au génie. La critique de langue française, depuis lors, a largement fait écho à cet enthousiasme.
Titus errant
Fin — et apothéose — de la Trilogie de Gormenghast, le chef-d’œuvre de Mervyn Peake. Ces trois romans, que la critique égala, pour leur baroquisme inspiré, au meilleur Tolkien : Titus d’Enfer, Gormenghast… et ce Titus errant, le plus émouvant peut-être, qui livre au lecteur les clés secrètes de toute l’aventure — et lance le héros sur les sentiers pleins d’embûches de la liberté.
Titus dans les ténèbres
« Il se souvint alors de son objectif, de la raison qui l’avait amené là où il se trouvait : perdu dans cet endroit désolé, il se souvint des rituels interminables de sa demeure primordiale ; il se souvint de sa colère et de sa détermination à défier les lois sacrées de sa famille et de son royaume, et il frappa le sol de ses pieds car, en dépit de son courage, ce qu’il avait fait l’effrayait et il avait peur de la nuit. »
Publié en 1956, ce court texte de Mervyn Peake parut en Angleterre dans un recueil en compagnie de deux autres oeuvres, l’une de William Golding et l’autre de John Wyndham, sous le titre : Quelquefois jamais, trois contes imaginaires.
Grâce à sa célèbre trilogie, Gormenghast, Mervyn Peake (1911-1968) poète, écrivain, peintre et illustrateur de ses propres livres fait figure « d’écrivain culte » tant en France qu’en Angleterre. Les fantômes littéraires de Kafka, Borges, Swift furent convoqués au chevet de son oeuvre mais furent très vite répudiés tant l’univers de cet auteur est unique en son genre.
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