Après la vente record du premier numéro du comics inspiré de Death Dealer, l'auteur du scénario Joshua Ortega, revient sur les raisons de ce succès.
Ortega n'est pas le premier a avoir été inspiré par les illustrations de Frazetta. Depuis 1973, romans, comics, figurines et autres produits dérivés du personnage de Death Dealer ont envahi les boutiques. Pour Ortega, ces oeuvres font partie des plus belles peintures du 20ème siècle.
A la demande de Frazetta lui-même, le comics présente un monde et une mythologie tout à fait différents de ce qui avait été fait auparavant. La première histoire se déroule sur la terre d'Iparsia, un monde fantastique où existent diables et démons. Neuf cent ans après la dernière apparition du guerrier légendaire, alors que de nouveaux combats débutent en Iparsia, celui-ci va reprendre du service. Sauf que cette fois-ci, il se pourrait que quelqu'un attende sa venue...
L'intrigue est riche en personnages secondaires hauts en couleurs, et abordera aussi les origines de Death Dealer. Comme le souhaitait l'illustrateur, c'est une histoire profondément épique qu'a écrit Ortega. Mais celui-ci demeure modeste lorsqu'il justifie le succès du comics : c'est un de ces livres qui n'attirent pas seulement les inconditionnels des comics, mais aussi les lecteurs ordinaires, et ceci est en grande partie dû à Frazetta et à la peinture légendaire.
Le second numéro sera en vente dès le 16 mai, et promet d'être fort en action, de quoi satisfaire pleinement les fans. Et dernière bonne nouvelle : il y aura certainement une autre série après ces six numéros !

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