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Les Chroniques de la Lune Noire

(Ce Cycle est En Cours)

Dessin : Olivier Ledroit (Proposer une Biographie)
Auteur/Autrice : Froideval (Proposer une Biographie)
Dessin : Cyril Pontet (Proposer une Biographie)
Les Chroniques de la Lune Noire

Le Signe des ténébres

Au centre de l’Empire se trouvait l’Oracle…
Et un jour sa voix annonça la venue de celui qui allait boulverser le monde. Voici son histoire et celle de ses compagnons, barbares et guerriers, canailles et mercenaires…
Et celle du terrible chien de guerre à qui l’Empereur confia la mission de les détruire.
De peur que les ténèbres…

Les Chroniques de la Lune Noire

Le Vent des dragons

Seuls rescapés de la sanglante bataille de Kendhrir, Wismerhill, Pile-ou-face et Fey s’engagent sur le noir chemin pavé d’embûches qui les conduira à l’Oracle…
Autour d’eux s’agitent des forces néfastes et maléfiques en une terrible lutte pour le pouvoir absolu : Frater Sinister et ses impitoyables chevaliers de la lumière, l’Archimage Haazhel Thorn et le démon urmarcht, l’Empereur de Lhynn et ses sbires omniprésents…
Sur cet échiquier gigantesque, Wismerhill et ses compagnons, tels des pions imprévisibles, s’aventurent là où souffle le vent des dragons …

Les Chroniques de la Lune Noire

La Marque des Démons

Face à l’Oracle, Wismerhill se voit enfin révéler une part de son destin tumultueux. Alors que plane sur lui l’ombre des complots de Frater Sinister et Haazhel Thorn, il retrouve son compagnon d’armes favori, le brutal et bête Gorghor Bey, qui a miraculeusement échappé à la mort.
A nouveau allié à cette force de la nature, Wismerhill va devoir affronter un péril à sa mesure, car dans les montagnes sauvages de l’Empire de Lhynn rôde le mal absolu, saura-t-il résister au charme diabolique de la Succube qui désire sa perte ? ou sera-t-il à tout jamais marqué du sceau de l’infamie, celui des démons ?

Les Chroniques de la Lune Noire

Quand sifflent les serpents

La Lune Noire semble à son zénith et précipite les forces qui s’arrachent les lambeaux de l’Empire de Lhynn vers l’affrontement. L’issue de la bataille ne pourra être que le chaos et la mort pour l’Empereur, les grands vers, et les chevaliers de la lumière.
Wismerhill et sa bande de mercenaires ne seront pas que de spectateurs dans le jeu mortel qui débute. et la brûlante Succube, âme damnée de Wismerhill, devra choisir son vrai maître…

Les Chroniques de la Lune Noire

La Danse écarlate

Le village ORKH est paisible. Les jeunes mâles sont partis pour la guerre, laissant leurs famille en sécurité. Les enfants jouent au bord de la rivière et babillent gaiement jusqu’à ce que l’un d’eux s’inquiète dans son langage d’enfant: ” Quoi n’est le broouis?”. Le broouis, c’est la calvacade furieuse des Fils de la lumière, commandés par Wismerhill. Et il ne fait pas bon se trouver sur le chemin de ces perfectionnistes qui trucident d’abord les veuves et les orphelins avant d’aller affronter les époux et les pères.
Car la guerre qui couvait depuis longtemps est désormais inévitable. De partout, les armées avancent vers le champ de bataille où, déjà Haazheel Thorn tient ses troupes prêtes.
Quant à Wismerhill, il a décidé de se rallier au terrible maître de la lune noire.
Les portes des enfers sont ouvertes.

Les Chroniques de la Lune Noire

La Couronne des Ombres

L’Empire semble victorieux…
La discorde ronge pourtant déjà ses rangs. Wismerhill croyait avoir gagné Moork mais les ombres du passé se dressent devant lui, menaçantes, sournoises. Wismerhill est une fois de plus face à son destin.
Ceindra-t-il la couronne des ombres? Pourra-t-il faire face aux terribles volontés de l’Aigle bicéphale? se dressera-t-il seul face à l’Empire tout puissant?

Les Chroniques de la Lune Noire

De Vents, de Jade et de Jais

La destinée du Baron de Wismerhill, maître et seigneur de Moork et d’Orkher, semble éclatante. Devenu l’un des plus puissants féodaux de l’Empire, rien ne semble lui résister.
Pourtant, à mesure que sa rencontre avec l’Empereur se rapproche, Wismerhill sent cette odeur indicible de souffre et de mort se rapprocher de lui. Bonne chance, Wismerhill…

Les Chroniques de la Lune Noire

Le Glaive de Justice

La baron Wismerhill et ses copains se retrouvent aux prises avec les morts-vivants de Der Hem Shelbem - une armée de soldats putréfiés et autres créatures hideuses dirigés par un Prince du même acabit. Commentaire de nos héros : “Boudiou, y craint, le bestiau.” Le combat est terrible, et Wis semble mal parti, quand Haazheel Thorn arrive à la rescousse et désintègre les putréfiés. Commentaire : “Ça fait tout de suite plus propre.” Suite à cette petite virée, Wis est investi des pouvoirs magiques du Prince et hérite de son fabuleux trésor.
Pendant ce temps, l’Ordre de la Lumière se dresse contre l’empire et Fratus magouille pour devenir empereur à la place de l’empereur. Attitude arrogante qui déplaît à ce dernier, et également à Parsifal, commandeur de l’Ordre de la Justice. Voilà donc l’armée impériale et celle de Parsifal sur le pied de guerre

Les Chroniques de la Lune Noire

Les Chants de la Négation

Après le ralliement des Chevaliers de la lumière à l’ordre de Justice, l’Empire semble avoir retrouvé un semblant d’ordre. Mais Fratus le félon court toujours. Avec Wismerhill, ils ruminent leur vengeance contre l’Empereur, Parsifal et le Prince Dragon. Un nouvel épisode, très attendu, de la saga de Wismerhill et de son maître Haazel Thorn, alias la Lune Noire.

Les Chroniques de la Lune Noire

L' Aigle Foudroyé

Et de dix ! Pour cet anniversaire, Les Chroniques de la Lune noire, née en 1989 s’offrent la plus fantastique des batailles jamais montrée en bande dessinée. Dans les airs, les dragons impériaux affrontent les chevaliers de la Négation. Sur terre, les machines de guerre impériales font un carnage dans les rangs serrés des trolls et des ogres, tandis que dans les bois les elfes règlent leurs comptes immémoriaux avec les orcs. Plus loin, chaque guerrier nain qui tombe entraîne au moins cinq adversaires dans les abysses infernales.

Les Chroniques de la Lune Noire

Ave Tenebrae

Nous avions laissé Wismerhill en fâcheuse posture, le tronc séparé des jambes par le dernier coup d’épée d’un l’Empereur Hagendorf déjà moribond. Mais, pour le fils spirituel de Haazel Thorn, il ne s’agit que d’un léger contretemps. Un sortilège de résurrection plus tard, le voici prêt à accomplir l’ultime outrage pour le compte du noir seigneur : la destruction des tables de la loi.
Devant un tel acte, l’Archange choisit de quitter cette terre, emmenant ses fidèles avec lui, laissant toute latitude à Wismerhill pour rebâtir l’Empire à sa guise. Ce onzième tome est plus que jamais la démonstration du talent de Froideval.
Le dénouement de la guerre est l’occasion d’une remise à plat de la série pour mieux rebondir. Le scénariste prend le temps de conclure quelques affaires en suspens et de redéfinir son héros, lequel se révèle un parfait ” despote éclairé ” pour son peuple - après avoir atteint l’apogée de sa folie destructrice.

Les Chroniques de la Lune Noire

La Porte des Enfers

Alors qu’il est parvenu au sommet et que plus rien ne semble pouvoir entraver le destin sanglant de Whismerill, un fait inattendu survient : son père, présumé mort, revient lui révéler toute la vérité ! Le jeune monarque comprend enfin que, depuis le début, il n’est que le jouet d’une vaste supercherie dont Haazel Thorn tire toutes les ficelles.
Confiants, les prêtres de la Lune Noire s’autorisent toutes les exactions et les démons arpentent librement le nouvel empire. Mais qu’ils se méfient de l’eau qui dort : Wismerhill est toujours le protégé des vents. Eux ne l’ont jamais trahi.
Avec patience et minutie, Froideval met en place le dernier acte de sa série culte. Après un onzième tome de transition, l’action repart de plus belle dans ce nouvel opus. Chaque personnage, de Whismerill au Méthatron, abat ses cartes et entre dans la dernière danse. Paradoxalement, plus la fin se rapproche, plus on renoue avec les débuts de la saga.

Les Chroniques de la Lune Noire

La Prophétie

Wismerhill a enfin ouvert les yeux et compris qu’il n’était qu’un empereur fantoche, simple pion dans un jeu à échelle cosmique. Mais parfois le pion se fait fou pour mieux redevenir roi. Refusant d’être le jouet d’Haazel Thorn, il a mis un terme à son plan diabolique et empêché une invasion de démons. Le fils de Lucifer compte bien laver l’affront dans le sang ! Wis et ses compagnons sont maintenant dans l’ombre d’une Lune Noire courroucée. La lumière est au bout du chemin, c’est certain ! Mais ce chemin sera-t-il celui de la mort ou de la victoire. ?

Les Chroniques de la Lune Noire

La Fin des Temps

Tremblez pauvres mortels, fuyez dragons, trolls, géants et succubes, la fin du Monde telle que nous la connaissons est proche, les portes des enfers vont s’ouvrir et libérer des hordes de démons, la Lune Noire étend son pouvoir sur l’univers. Wissmerhill, seul, face aux Dieux pourra-t-il empêcher l’inéluctable ? Ce quatorzième et dernier tome de l’une des plus grandes sagas d’heroic fantasy clôt d’une superbe façon l’aventure prodigieuse commencée il y a près de 20 ans.

Les Chroniques de la Lune Noire

Terra Secunda

Wismerhill a été le premier à pouvoir franchir le portail. Nul ne savait si ce monde comptait des saisons, si les terres étaient fertiles et quels dangers guettaient son peuple. Mais Wis’ sut se montrer digne de son rang. De conquêtes en conquêtes, sa civilisation allait perdurer. Le Methraton était en passe de réaliser son plan : détruire un monde et en rebâtir un autre, à l’abri, cette fois-ci, des forces maléfiques. Mais quel sera pour autant le destin de Wismerhill ? Pourra-t-il enfin agir en toute liberté, ou sera-t-il rattrapé par les funestes ombres menaçant le futur, ou surgissant du passé ?


Critique

Par Gillossen, le 29/12/2012

Ah, la lune noire, tout un poème… S’il est toujours très plaisant de suivre la “montée en puissance” de Wismerhill au fil des tomes, et de découvrir comment il va s’en sortir une fois de plus, les Chroniques de la Lune Noire commencent malheureusement à lasser, et cela plus ou moins vite selon le lecteur.
Car malgré son immense succès, quelque peu en décrue dernièrement, cela dit, cette bande dessinée peut rebuter par ses dessins pas toujours très soignés, son découpage souvent basique - en dehors des planches de batailles immenses - et surtout, un scénario tout de même pas forcément très développé, sous ses dehors mystiques, à coups de souvenirs de parties de jeux de rôle.
Les derniers albums en date ne dérogent pas à la règle, donnant tout ce que le fan attend, et ne risquant pas de séduire les amateurs plus circonspects. On pouvait se demander de quelle façon Wis se remettrait sur pieds (hum…) mais l’histoire de la Lune Noire est pleine de rebondissements de toutes sortes, et Ave Tenebrae nous le prouve une fois de plus…
Par chance, avec La Porte des Enfers, les choses avancent enfin du côté de l’intrigue, même si cela reste en dessous de nos espérances. On entretiendra donc toujours un espoir pour la suite, quand bien même il nous en faudrait beaucoup pour afficher une réelle satisfaction. Et ce n’est pas le contraste continu entre couverture et planches, qui permettra de combler le fossé…
Changement d’impression cela dit avec l’avant-dernier tome, qui accueille un changement de coloriste ! Incroyable mais vrai, voilà une chose qui se remarque, et en bien. Ajoutons à cela une pincée de révélations et bien sûr d’énormes règlements de compte… Astiquez vos glaives et préparez vos sorts !
Et, finalement, la blague cosmique se termine en cette fin d’année 2008… Tandis que les fils conducteurs de l’intrigue et des questions que l’on se posait depuis toujours sur Wiss ne trouvent finalement pas de réponse concrète au fil des pages, on se demande à quel jeu jouait Froideval depuis toutes ces années.
Malgré quelques sursauts de temps à autre, il apparaît évident que cet album ne constitue pas une véritable fin. Sans rêver d’apothéose ou de redressement magistral, les fans de la première heure étaient tout de même en droit de rêver d’un « minimum syndical », aussi convenu soit-il. Pour le coup, un album de plus n’aurait certainement pas été de trop !
A se demander qui de Dargaud ou des auteurs s’est décidé à conclure une telle saga d’une aussi piteuse façon…

D’où la raison de cette sorte de “reboot” amorcé avec un quinzième album sorti de nulle part ? Et c’est peut-être précisément parce que l’on en attendait pas grand-chose que la surprise s’avère - toutes proportions gardées - bonne. Les auteurs réussissent plutôt bien leur pari, repartir “de zéro” tout en parvenant à garder les lecteurs d’origine du cycle, qui ne seront pas totalement perdus pour autant, loin de là.
Car dans l’ensemble, sur le fond comme sur la forme, Froideval et Angleraud font dans l’attendu, à base d’ingrédients qu’ils maîtrisent depuis longtemps. Bref, on évolue dans un univers de dark fantasy épique qui joue évidemment la carte de la démesure, mais doté pour une fois d’une once de fraîcheur, à défaut de pouvoir parler d’originalité.

6.0/10

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