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La Légende de Drizzt

(Ce Cycle est En Cours)

Auteur/Autrice : Andrew Dabb (Proposer une Biographie)
Dessin : Tim Seeley (Proposer une Biographie)
Dessin : Val Semeiks (Proposer une Biographie)
Auteur/Autrice : R. A. Salvatore
La Légende de Drizzt

Terre Natale

L’Outreterre : terre natale du jeune prince Drizzt Do’Urden, où se dresse la vaste cité exotique de Menzoberranzan.
Drizzt atteint l’âge de la maturité dans l’univers implacable de sa ténébreuse espèce : les elfes noirs.
Possédant un sens de l’honneur à toute épreuve, Drizzt fait face à un inévitable dilemme : peut-il vivre dans un monde qui rejette toute forme d’intégrité ? Terre natale est le premier volume de La légende de Drizzt, de RA Salvatore, dans l’univers épique des Royaumes Oubliés.

La Légende de Drizzt

Terre d'Exil

La légende de l’elfe noir continue ! Survivra-t-il à la nuit éternelle de l’Outreterre ? Loin sous la terre, Drizzt Do’Urden a fui la société corrompue des elfes noirs. Le jeune guerrier a soif de justice et d’amitié plutôt que de pouvoir et de violence, et il sait que sa seule chance de goûter à la liberté repose dans les tunnels labyrinthiques de l’Outreterre. Mais il devra y affronter les fantômes du passé et les abominations du présent…Pendant ce temps, son impitoyable famille poursuit sa guerre fratricide. Pour traquer Drizzt, sa mère enverra le seul guerrier capable de le tuer… et de lui briser le coeur.

La Légende de Drizzt

Terre Promise

Drizzt a laissé derrière lui les méandres obscurs de l’Outreterre. Mais les méfaits de sa terrible race sont bien connus des peuples de la surface. Accompagné de sa fidèle panthère, Drizzt devra surmonter de nombreuses épreuves avant de trouver une terre d’accueil.

La Légende de Drizzt

L' Éclat de Cristal

Le Valbise tremble. Akar Kessell, un apprenti sorcier, a réveillé une relique pouvant balayer la région de la surface des Royaumes. Et s’il n’y avait que ça ! Les barbares mènent une attaque sanglante contre ses habitants, abandonnant derrière eux le jeune Wulfgar, laissé pour mort. Recueilli par le nain Bruenor et son ami Drizzt Do’Urden, l’elfe noir, il pourrait bien se révéler l’ultime rempart contre l’épouvantable puissance de l’Eclat !

La Légende de Drizzt

Les Torrents d'Argent

Le cinquième volume des aventures de l’elfe noir.
Un prodigieux voyage au coeur du songe Là où la
magie fait briller l’aventure
Le printemps revenu, Drizzt Do’Urden accompagne le nain
Bruenor, qui part à la recherche de Castelmithral, le berceau mythique de son peuple.
Wulfgar le barbare et Régis le halfelin sont du voyage. Les quatre amis ne sont pas au bout de leurs peines. Monstres, sorciers et assassins sont sur leur piste, et tous ont leurs raisons de vouloir la mort de nos héros.

La Légende de Drizzt

Le Joyau du Halfelin

Régis est livré au Pacha Amas. Celui-ci veut se venger du halfelin qui lui a volé son bien le plus précieux : le rubis aux pouvoirs hypnotiques. Les amis de Régis, Drizzt et Wulfgar se ruent à son secours tandis que Catti-Brie se charge de lever une armée pour reconquérir Castelmithral. Drizzt sera de nouveau confronté à son ennemi juré, Artémis Entreri. Quant au halfelin, il doit affronter la pire épreuve de sa vie entre les griffes du Pacha Amas. Y survivra-t-il ?

La Légende de Drizzt

L' Héritage

Les membres de la famille de Drizzt complotent contre lui. Ils envoient un espion humain à Castelmithral, et choisissent pour cette mission Artemis Entreri, son ennemi juré ! Mais alors que Drizzt doit sauver Castelmithral d’une invasion drow, son coeur est brisé : Catti-Brie est sur le point d’épouser Wulfgar.


Critique

Par Gillossen, le 10/10/2009

Parmi les premiers titres de la nouvelle collection Milady Graphics, comment pouvait-on imaginer ne pas retrouver un représentant des Royaumes Oubliés et plus particulièrement des aventures de Drizzt Do’Urden ?
C’est chose faite avec la parution de cette adaptation comics toute récente, puisqu’elle date de l’an passé aux Etats-Unis. Difficile de fait de faire plus actuel.
Mais que dire ? Tout comme l’auteur originel, R.A Salvatore, on pouvait s’avérer inquiet quant à la mise en chantier d’un tel projet, mais pas pour les mêmes raisons… Et pourtant ! Après lecture, il faut bien admettre que le résultat n’a finalement rien d’infamant.
Mieux, pour ceux qui voudraient, pour une raison ou pour une autre, connaître ce Drizzt aussi détesté qu’apprécié, ce premier tome (la suite est attendue pour décembre) pourrait bien constituer une alternative sympathique au roman lui-même.
En effet, le récit, fidèle, nous évite la prose lourde et sans saveur de Salvatore, sans que la trame générale s’en ressente. L’univers des Drows, qui en lui-même possède de quoi intriguer les amateurs de fantasy, n’en paraît que plus vivant, mais aussi redoutable. Celles et ceux déjà familiers avec ce contexte « dark » pourront toujours y jeter un oeil eux aussi, ne serait-ce que pour découvrir comment l’oeuvre a été adaptée.
Mais si cette transposition se révèle étonnamment réussie, du moins, si l’on tient compte du roman ayant servi de base au comics, on peut toutefois regretter que le graphisme, de la plume de Tim Seeley, demeure si conventionnel, et même manquant relativement de finesse plus souvent qu’à son tour, sans même parler de la colorisation aux effets criards pas toujours des plus réussis. L’influence de l’illustrateur Todd Lockwood, que Salvatore dit retrouver au fil des pages, demeure malheureusement trop souvent par trop ténue.
Une production qui n’a rien d’extraordinaire à offrir mais qui se montre toutefois loin d’être déshonorante, et ce d’autant moins en songeant à son point de départ.
Avec le deuxième tome, l’effet de surprise est-il passé ?
Toujours est-il que Terre d’exil n’a plus la même saveur, même si l’on retrouve exactement la même équipe aux commandes de la série.
On s’ennuie à vrai dire très vite de ces péripéties mal agencées, de ses intrigues entre Maisons surfaites, de ses séquences “émotion” prévisibles, sans parler de bulles de dialogues souvent bien peu inspirées ou prêtant à rire, parfois dans les « pires » moments d’une histoire qui se veut le plus souvent grave, soulignant de fait qu’il n’est ici absolument pas question de second degré volontaire de quelque ordre que ce soit.
Quant aux dessins… si le trait reste dans la moyenne du précédent volume, l’abus de certaines couleurs flashy et surtout l’apparence choisie de certains personnages pour leur passage du roman au comics prête à sourire, pour ne pas dire plus ! En effet, comment ne pas ouvertement ricaner devant un Belwar, dont le sort ne risque pas de paraître déchirant ou surtout comment ne pas rire en secouant tristement la tête devant l’accoutrement, comment l’exprimer autrement, de Jarlaxle ? Il y a des transpositions, qui, si elles ont le mérite d’être fidèles, feraient mieux d’être évitées, tout simplement.
Engoncé dans un statut d’album de transition qui ne l’aide guère, difficile cette fois de se passionner pour cette redite. Même si les dernières planches laissent augurer de quoi raviver un intérêt franchement des plus déclinants…
Trois tomes plus tard, cette transposition suit son cours, et si elle peut se suivre avec un certain intérêt, elle n’en demeure pas moins paresseuse et surtout handicapée par des dessins et surtout une colorisation tendant de plus en plus vers le médiocre ou le tout juste passable

6.5/10

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